R.I.P. – Malcolm YOUNG, 1953 – 2017

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AC-DC n’était plus vraiment AC-DC depuis quelques années maintenant, avec le seul Angus YOUNG encore à la manoeuvre (Ohé, ohé, Capitaine abandonné… – air connu).
Exit Phil RUDD, éjecté en 2010 pour les sombres raisons que l’on sait.
Exit Brian JONHSON en 2016 pour d’autres raisons, tout aussi nébuleuses finalement.
Exit Malcolm YOUNG en 2014, après quarante ans à la manoeuvre et suite aux problèmes de santé qui viennent d’avoir raison de lui.
Exit Cliff WILLIAM qui a, en toute et saine logique, décidé en 2016 de raccrocher sa basse au vu de tout ce qui précède…

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Malcolm YOUNG, lui, vient finalement de rejoindre l’éternel Bon SCOTT, fatigué sans doute de ne plus être que l’ombre de lui-même. L’ombre d’un métronome sans pareil, l’ombre d’une machine rythmique unique, l’ombre d’un trio sans équivalent au sein du r’n’r circus qu’il formait avec Phil et Cliff.
Malcolm YOUNG, "The Engine", le vrai patron d’AC-DC, co-fondateur du band et co-auteur de la (quasi) totalité du répertoire. Malcolm YOUNG, l’homme de l’ombre, petit par sa taille mais impressionnant par sa présence. The Boss. Malcolm YOUNG, le seul et véritable patron du groupe malgré le fait qu’il ait choisi de se contenter des miettes médiatiques et de l’ombre que faisait son petit frère qu’il a porté au-devant de la scène.
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Pour les véritables AC-DC lovers, Malcolm est et restera la pierre de voûte, la pierre angulaire de l’entreprise Young & Cie, Established 1973.
Révérence & total respect, Mister Young, et bien l’ bonjour à Sir Bon là-haut. Car non seulement it’s a long way to the top if you wanna rock’n’roll, mais surtout Highway to Hell qui est devenu pour toi et vu les circonstances Stairway to Heaven

WINE HOT – Bar à Goûts @ Jamoigne – 25 novembre 2017

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Rien de tel qu’un bon petit WINE HOT tandis que les premiers frimas d’hiver attaquent cette nuit de fin novembre. Why not donc un petit WINE HOT pour se réchauffer le conduit auditif!? Les cinq Chestrolais (ou assimilés) étrennent leur dernier CD dans un endroit peut-être un peu trop cosi à notre goût que pour profiter pleinement de séquences tantôt aériennes, tantôt plus nerveuses, mais toujours aussi finement ciselées et à la lisière de sonorités familières.

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Des compositions complexes, léchées et travaillées à l’envi alternent ainsi avec des passages plus nerveux et moins architecturés, dont les vocals collent toujours parfaitement aux atmosphères qui s’en dégagent. On a pourtant envie que certains passages crescendo finissent par exploser, mais non: le soufflé redescend comme pour ne pas trop brusquer, comme pour ne pas effrayer. Frustrant comme un coïtus interruptus… Un travail de vrais pros, une production de haute qualité et une prestation de très belle facture pour un combo qui mérite bien, bien plus que son audience encore trop confidentielle.

Now online : AIRBOURNE @ Het Depot, Leuven

Maintenant en ligne, AIRBOURNE qui a écrit une nouvelle page du rock’n’roll au Depot de Leuven ce 12 octobre 2017.
Ceux qui n’en étaient pas ne peuvent pas comprendre. Et ceux qui en étaient ne peuvent plus non plus…

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AIRBOURNE @ Het Depot, Leuven – 12 octobre 2017

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Ah ! toujours cette petite excitation qui nous émoustille le palpitant, au moment de découvrir les lambris d’une "nouvelle" salle de concert à notre actif. En l’occurrence, Het Depot, Leuven, waar Vlamingen thuis zijn. Ou si peu finalement, au vu du décor urbain ambiant où les enseignes francophones tiennent le haut du pavé. Tout comme l’assistance majoritairement francophone itou qui a fait le déplacement pour cette seule date belgicaine d’AIRBOURNE.

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Que n’aurions-nous pas encore écrit au sujet de ces sacrés Australopithèques…?! Que n’avons-nous déjà pas sassé et ressassé au sujet de leur énergie démoniaque et de leur punch surnaturel ? Qu’aurions-nous pu omettre de mentionner en narrant leurs shows sur-vitaminés menés tambour battant ?!

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Au risque donc de nous répéter, nous ne dirons rien – rien de rien de cette incroyable cure de jouvence ni de cette intraveineuse de testostérone que représente chacun de leurs concerts…

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Notre dernier AIRBOURNE remonte à juin dernier, alors qu’ils foulaient ou plutôt survolaient les planches de Den Atelier (Luxembourg), sur une scène bien, bien trop exigüe que pour leur permettre un total burn out comme ce soir à Leuven.

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Le pit d’où tirer nos photos frontstage est quant à lui trop étroit cette fois que pour se déplacer à s’n aise d’une extrémité à l’autre de la scène afin de varier les angles de prises de vue sans bousculer les confrères. Mais le problème plus criant encore est que ce pit est manifestement trop étroit également que pour y faire co-habiter et la sécurité et les photographes.

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Moralité: pas de molosse de la security pour réceptionner les crowd-surfers qui viennent dès lors s’écraser violemment sur nous, pôôôôvres photographes, en nous prenant de surcroit par traitrise dans le dos alors que nous sommes en plein labeur. Pas facile le métier, ma p’tite dame, pas facile et dangereux – ouch…

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AIRBOURNE, ce sont de fines gâchettes à l’oeuvre là où les rouleaux compresseurs peinent à évoluer. AIRBOURNE, c’est la sulfateuse là où les orgues de Staline ne peuvent tirer. AIRBOURNE, c’est le moustique qui pique là où le frelon ne peut se glisser. AIRBOURNE, c’est l’apocalypse qui dévaste là ou le déluge ne peut noyer… AIRBOURNE, c’est l’alpha et l’oméga du rock’n’roll quand la horde du mainstream musical se contente du ventre mou qui s’étend de l’un à l’autre.

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AIRBOURNE a embarqué dans ses bagages DESECRATOR pour officier en première partie. Sans doute pas la meilleure idée qui soit, mais faut croire que dans l’hémisphère sud on n’a pas le même schéma neurologique que chez nous, les gens du nord. Soit, n’en faisons pas non plus tout un kangourou…

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N’en demeurent pas moins regrettables les 75 petites minutes seulement de show qu’AIRBOURNE nous ont offertes. Tout semble démontrer que c’en deviendrait presque la norme. Si tel est le cas, on n’a plus qu’à s’en faire une raison en ronchonnant comme les vieux bougons qui marmonnent que tout fout l’ camp et que c’était mieux avant. Amen.

Maintenant en ligne : PARADISE LOST @ KulturFabrik, Esch

Un European Tour 2017 de plus pour PARADISE LOST qui débute ce 27 septembre à la KulturFabrik de Esch-sur-Alzette…

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PARADISE LOST – KulturFabrik @ Esch – 27 sept. 2017

Il y a des concerts pour lesquels on n’a pas grand chose à dire. Parce qu’il n’y a pas grand chose à en dire. Parce qu’il n’y a pas grand chose à en retenir. Parce qu’il n’y a pas grand chose à s’en souvenir. Parce qu’il n’y a pas grand chose à en ressortir. Parce qu’il n’y a pas de raison de (se) mentir. Mais pas question non plus de médire… PARADISE LOST fait partie de ces (rares) concerts-là.

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Un concert peu engageant en définitive, monotone et monocorde, sans relief ni aspérité. Et sans grand engouement ni engagement de part et d’autre du front stage. A se demander qui, de l’assistance ou du band, fait le plus (le moins ?) preuve d’entrain, d’enthousiasme et de motivation. Comme si repartir sur les routes pesait aux Anglais.

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Comme si se déplacer à la KuFa était une corvée pour une assistance à peine plus motivée semble-t-il. Soirée chiens de faïence en quelque sorte, assortie néanmoins de la très appréciable prestation d’une jeune recrue que nous découvrons à la batterie: un p’tit gars qui ira loin c’est certain, très loin même.

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C’est en Angleterre, au début des années ’90, que se forme le « Big Three » du doom metal britannique ; un club composé de PARADISE LOST, de My Dying Bride et d’ANATHEMA nos préférés. Tous trois signent sur le légendaire label Peaceville Records. Devenu référence et leader de la sphère gothic metal, PARADISE LOST continue depuis lors d’aligner albums et tournées.

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Le concert ce soir à la KuFa est d’ailleurs le premier d’un nouveau round européen qu’ils débutent ainsi en cercle restreint au Luxembourg. Manière sans doute de roder la machine, mais en mode manifestement mineur…

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L’intérêt majeur – toutes proportions gardées – de cette soirée réside dans la prestation des deux open acts : SINISTRO et son pantin comme désarticulé aux vocals en si parfait harmonie avec l’ambiance lourde que dégage le band, et les Américains de BALLBEARER qui nous en remettent une couche ô combien significative et des plus appréciables. Pour le reste, PARADISE LOST est venu, on n’a rien vu et l’on se demande encore qui a (est ?) vaincu.

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Richie KOTZEN @ Rockhal – 19 septembre 2017

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Dans la liste des most underated guitaristes-compositeurs, Richie KOTZEN figure malheureusement dans le top. A l’instar d’ailleurs d’un Franck Marino dont il partage le doigté et la technique, au point de presque les confondre pour peu qu’on ferme les yeux ce mardi soir à la Rockhal et qu’on s’imagine ailleurs…

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L’assistance relativement clairsemée se dispersera au compte-goutte en fin de concert, sans même attendre l’ultime note de cet ultime show à l’affiche du Richie Kotzen World Tour 2017 – un comble. Ce n’est néanmoins pas faute d’avoir tout donné, le bougre: le maestro nous balance un set de plus de deux heures, troquant de temps à autres sa six cordes pour le clavier, mais sans que jamais la sauce ne prenne vraiment.

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Allez comprendre la chimie et l’alchimie qui font qu’un soir, un set éclabousse et irradie, et que le lendemain la même set-list et les mêmes acteurs ne parviennent pas à décoller, à faire décoller. Parfois la magie opère, parfois pas. Ce soir, ce n’est comme qui dirait pas le cas – allez comprendre…

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Bien que KOTZEN ait réussi à trouver une notoriété au delà de son statut d’éternel homme de l’ombre, malgré le fait qu’il donne le meilleur – oui, le meilleur – de lui-même, tout ça pour nous laisser finalement une impression mitigée: c’est signé pas de chance. Cela n’enlève toutefois rien, strictement rien au mérite de l’ex-Mister Big qui n’a jamais été aussi bon qu’en configuration solo. Ou plutôt en configuration power-trio: c’est définitivement la formule la plus riche et la plus puissante qui soit, et qui permette autant d’audace(s), de complicité(s) et d’efficience sur scène.

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Chaque morceau est sujet, le temps d’une question réponse ou tout simplement suivant l’impulsion du moment, à des jams effrénés où le trio dévoile l’étendue de son talent sans limite. Ça joue sévère, avec un groove détonant, et KOTZEN n’est clairement pas le seul maître à bord.

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Une sono pourrave (fait exceptionnellement rare ici à la Rockhal que pour être souligné) et un public pressé de retrouver son lit avant même la fin du set, ajouteront cependant à l’arrière-goût mièvre d’un set pourtant magistralement mené. Mais c’est ainsi, il y a des soirs avec, des soirs sans: allez-y comprendre quelque chose…
Ah oui, on oubliait ! Mention spéciale à The KONINCKS qui assumaient l’ingrate tâche d’opening band.

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Maintenant en ligne : The SPARKS – Richie KOTZEN

Full review, live footage & pictures now online :
The SPARKS @ Ancienne Belgique, Brussels – 16 sept. 2017: "Our second home…"
Richie KOTZEN @ Rockhal, Esch-sur-Alzette, 19 sept. 2017

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The SPARKS – Ancienne Belgique @ Bruxelles, 16 sept. 2017

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The SPARKS ! 45 ans que le génie inégal des frères Mael enchante le monde – de celui de la pop-rock à celui de la disco, en passant par le glam-rock et la synthpop via la new wave, l’électro rock et le rock alternatif. Mais toujours avec le talent et le génie des touche-à-tout mais qui n’ont pas viré bons-à-rien à force de se disperser…

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Et c’est un peu de tout ça que les Mael Brothers nous balancent à la figure ce soir à l‘Ancienne Belgique. "Our second home", dira même Ron à force d’avoir passé tellement de temps dans les studios d’enregistrement bruxellois ces dernières décennies. Il y a un peu plus, je vous le mets ?

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Il y a de ces concerts où tu vas les mains dans les poches et l’esprit vagabondant ailleurs, en te demandant si tu ne serais finalement pas mieux peinard chez toi devant la TV avec une bonne bière (ou plus si affinités). Et ce sont ces soirs-là, rares au point d’en devenir mémorables, où tu reçois la trempe de l’année: celle qui te laisse sur le c…

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Le show des SPARKS à l’AB sont ainsi ce ceux-là. Avouons qu’en 45 ans, hormis quelques tubes époque Giorgio Moroder et autres, The SPARKS avaient quasi glissé sur la carapace rock’n’rollesque de notre indifférence. Sans doute est-ce là une grande et grave erreur de notre part, mais bien vite rattrapée ce soir – et de quelle manière.

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Compositions aussi géniales que délirantes pour certaines, constructions et rythmes aussi élaborés que parfois syncopés, le génie des frères Mael n’est pas usurpé ni surfait. Encore fallait-il en être ce soir le témoin privilégié dans une salle qui, définitivement, n’a pas non plus usurpé son classement dans le top mondial des "best acoustic venues". Et c’est peu dire !

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Merci Greenhouse Talent pour cette accréditation-photo, assortie néanmoins de consignes émanant du management qui sortent quelque peu de l’ordinaire: There will be no photography from the pit / below the stage. Photography will be from the sound desk or equivalent using suitable long-lenses. Photographers will be permitted to shoot first 3 songs of the set, no flash.

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Si la troisième consigne est un inébranlable classique de tous les shows (hormis dans le chef de ZZ Top, de BLACKFIELD et de BIG SUGAR), le fait de ne pas pouvoir shooter depuis le pit nous rappelle les directives identiques reçues à l’occasion des concerts de YES et de DREAM THEATER. Sans parler d’autres consignes plus coercitives presque, telles que celles émanant du management de SHAKA PONK ou de HOOVERPHONIC qui n’autorise aucune publication de photo sans avoir préalablement validé celles-ci…

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Ces stars craindraient-elles pour leur image? Ont-elles peur que les affres de l’âge déteignent sur la perception de leur éternelle beauté qu’en conserve le public? Mais on pardonne tout aux frère Mael tant leur prestation ce soir est exceptionnelle. Tout comme la standing ovation sans fin, aussi bruyante qu’émouvante, qui les retient tous deux sur scène une éternité durant, dans un de ces rares moments où tu as conscience d’assister à un véritable événement…

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1951 – 2017 : Dave HLUBEK – R.I.P. (Molly Hatchet)

Notre dernière bière avec Dave HLUBEK, c’était en décembre 2012. Ce sera définitivement la dernière…

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Ainsi que l’annonce le Facebook de MOLLY HATCHET en ce 04 septembre 2017:
"It is with great sorrow to announce the passing of our beloved friend and band member Dave Hlubek. Dave was one of the founding lead guitarists of Molly Hatchet. Amongst his many contributions to southern rock is Flirtin’ With Disaster.
Our condolences and our prayers go out to his family during this time of loss. He will be missed but never forgotten, as the music lives on through his legacy in Molly Hatchet."
… So long, Ol’ Chap.
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