* Expo Photo – Photo Exhibition * Sélange, 18 mai 2013

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Un tout, tout grand et big rock’n’roll salute à Lolo et au Bots pour avoir eu la gentillesse de me proposer d’exposer quelques clichés à l’occasion de la grande soirée de présentation de l’édition 2013 du Donkey Rock Festival. Entourés des photos de deux autres fêlés du déclencheur, quelques instantanés de Intensities in 10s Cities ont servi de fond non pas sonore mais visuel à cette soirée (nuit ?).

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Il est de ces festivals et de ces équipes organisatrices qui s’apparentent davantage à une grande et belle famille qu’à une sacrée bande de potes – et quand ce sont les deux à la fois, c’est tout simplement le bonheur. Chapeau à eux deux et à tout la belle et efficace équipe de bénévoles qui les entoure pour le professionnalisme, le dynamisme, la sympathie et la chaleur – oui, la chaleur – qui est la recette de ce festival-pas-comme-les-autres.

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A l’instar de cette soirée de présentation de l’affiche de ces 8, 9 et 10 août 2013, il est certain que l’édition de cet été sera à nouveau une belle et grande réussite. Cré Tonnerre et Sterpi ont donné ce soir le la avant de laisser la place à Hop’n’Roll DJ-Set: le reste à venir cet été ne sera pas la moindre des choses qui nous attendent. L’été s’ra chaud, l’été s’ra chaud, dans les t-shirts dans les maillots. See ya next August, Dudes !

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G4 – 21 mai 2011 – Bertrix

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L’affiche donne le ton – et il n’est pas spécifiquement question des gabiers du même nom, même si un moussaillon est de la partie ce soir. Soirée tribute, d’ailleurs, avec une intensities-in-two-cities : après le G4 à Bertrix, se sera tout à l’heure Abbey Road à Bastogne (It’s a long way to the top if you wanna rock’n’roll – air connu). Tout est donc dit et écrit, et correctement mentionné sur l’affiche du G4 ce soir, pour le quatrième gig d’un band qui ne s’était pas initialement constitué pour durer, que du contraire. Mais l’éphémère est devenu rémanent pour notre plus grand plaisir, et le flingue à un coup est devenu une sulfateuse qui assure. Le "Projet G4" est donc tout naturellement devenu simplement… G4

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Aaaaaah ! comme dans le bon vieux temps, l’organisateur monte sur les planches pour annoncer le groupe avant que les lumières ne s’éteignent : on croirait réentendre un microsillon vintage double live quelconque… Pour ajouter une touche de surréalisme, l’annonceur ne manque pas non plus de préciser qu‘exceptionnellement ce soir le bar restera ouvert durant le spectacle (sic) – au cas où on oublierait qu’on est dans un centre culturel et qu’on fait là une coupable entorse aux ancestrales et rigides habitudes des lieux – et qu‘il est recommandé d’éteindre son gsm (re-sic). Cette dernière précision fera cependant l’objet d’un rapide démenti de la part du band qui précise quand même d’entrée de jeu, par la voix de son M. Loyal (Denis Richard – vocals), que de toutes façons on ne les entendra pas sonner, qu’il vaut mieux les laisser sur vibreur et qu’après tout on n’en a rien à f…. On est donc bien dans un centre culturel – et cette petite touche un rien cocasse n’est pas pour déplaire à un parterre particulièrement peu conventionnel également pour un tel endroit.

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A l’instar de ces présentateurs/animateurs radio (dont je tairai pudiquement le nom) qui irritent royalement leurs auditeurs en annonçant sur les ondes Les Pink Floyd, Les AC-DC, Les Police, Les Supertramp, Les Nirvana, etc. (Le(s)) G4 remonte donc sur les planches pour un quatrième gig en un an, passant de la sorte du statut de tueur occasionnel one-shot à celui nettement plus envié de respectable serial-killer de la scène luxembourgeoise. Vivement d’ailleurs le prochain forfait dans un mois, manière de prendre une nouvelle balle en pleine tête, non pas entre les deux yeux ou plutôt si, mais entre les deux tympans plus précisément. Les quatre lead-guitars copulent deux par deux, Manu "Roi Lion" Moreau et Bernard "The Boss" Castelloes sur le flanc gauche, Albert "Le Maître" Pemmers et Julien "Magical Fingers" Mary sur l’aile droite, tandis que keyboard et bass-man font de même sur le podium où Ben "en Gaume" Langlois croise le fer (ou plutôt le pétard) avec Didier "A poil, Bidon !" Tonneau, laissant tout seul comme un grand, installé derrière son artillerie, Geoffroid "Boum Boum" Mary.

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L’équipage est au complet, les huit corsaires du vaisseau Classic Rock peuvent prendre le large après avoir longuement affûté leurs munitions ces dernières semaines pour relever le défi d’un nouvel épique combat contre la facilité et le confort. Car quatre lead-guitars à synchroniser, c’est pas du pâté (gaumais), et huit flibustiers à caser, c’est pas full-confort non plus. Mais (Le(s)) G4 a été pensé (un peu) et conçu (beaucoup) pour partir à l’assaut de classic rocks non pas particulièrement pour les revisiter mais plutôt pour les réincarner. Le fun en plus, conjugué à la puissance de 4 grattes et à la bonne humeur de 8 potes désormais complices pour le meilleur et sans le pire.

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L’intemporel a de nouveau frappé fort ce soir. Non pas dans le dos mais en plein coeur. Et à coups de watts, maudits rockeurs !

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« Projet G4 – 4 Rockin’ Guitars » – 20 juin 2010 – Izel

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Le G4? Une tribu d’irréductibles Luxembourgeois rassemblant pour l’occasion la crème de la crème des musicos de la Belle Province, réinventant à leur façon une certaine manière de prendre son pied live on stage. Ou lorsque l’élève dépasse le maître. L’apprenti surclasse le patron. Le fils transcende le père. Quand la chenille devient papillon, l’encens fumée et la biche civet. Unis dans un même élan et dans une même communion pour revisiter quelques classic rocks d’anthologie, c’est la claque de bonne humeur, de talents, d’humour et de rock’n’roll attitude en plein dans la g…. Mieux encore qu’à l‘Entrepôt il y a quelques mois, les dimensions de la scène de cette Fête de la Musique offrent l’espace vital dont chacun a besoin pour s’exprimer pleinement. Albert et Bernard côté droit, Julien et Manu côté gauche pour les 4 lead guitars, le cinquième manche – je parle du bassman Bidon – se joignant aux deux autres sur le côté gauche pour regrouper les chevelus, Geoffroy, Benoit et Denis "Ozzy" se partageant l’espace central de la scène avec la batterie, le clavier et les vocals. Ca a de la gueule et ça en jette un max, 8 bonshommes sur une même scène !

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A de rares bonnes et excellentes exceptions près, un cover-band ne m’a jamais transcendé car habituellement enfermé dans un scénario téléphoné et une gimmick toute acquise à l’original. Ici, on atteint une autre dimension: celle du band éphémère qui trouve précisément toute sa raison d’être dans une fusion temporaire et provisoire, à l’image du papillon dont l’éphémère beauté ne rend celle-ci que plus belle. Et quand c’est pour revisiter de telle manière quelques standards parmi d’autres avec quatre guitares qui se renvoient la balle, alors là, alors là, pardon mais comment est-ce Dieu possible de de pas s’esbaudir (esbaudissons-nous, esbaudissons-nous !) devant tant de vibrations…? Epaules contre épaules, le G4 revisite l’histoire du classic rock en délivrant en 3D ce qu’on n’a jamais réalisé ne connaître qu’en 2D – voire en mono. Le G4 n’existe pas: il EST. Mais à la façon de Chuck Norris. Repartis chacun dans leur band originel maintenant leur forfait accompli, ils n’attendent secrètement que la prochaine occasion pour remettre le couvert et vous en mettre plein la vue, plein les oreilles et plein les babines. Car le G4 non seulement (se) déguste, mais en plus c’est lui qui régale…! Un peu comme un 21 juillet perpétuel. Merci Bernard pour cette initiative exceptionnelle ! Just appreciate: http://www.youtube.com/watch?v=ndKe3QaOHDE Oui, il faut le voir pour le croire. Nous sommes d’accord. Ite misa est.

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 » Projet G4  » – 26 mars 2010 – Arlon

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Quatre gachettes à l’Entrepôt, titre la presse. Et servies en munitions par quatre sacrés chargeurs qui ferraillent dur à la sulfateuse, ajouterais-je. Bernard CASTELLOES (Lauviah, Men in Blues, e.a.), Julien MARY (Taliesyn,….), Manu MOREAU (Cré Tonnerre, P.I.G…), Albert PEMMERS (Albert Blues Band, Steel, e.a.), : quatre guitaristes (G4) qui partagent leurs racines communes, blues & rock, comme ils partagent leurs Orvaulx – pardon, Al: leurs Orval(s). C’est-à-dire accompagnés d’un solide et consistant pâââââté gaumais qui tapisse le tout en les personnes de Benoît LANGLOIS (Taliesyn – clavier & vocals), Geoffroy MARY à la batterie (Taliesyn), Denis RICHARD aux lead vocals (Albert Blues Band), et enfin the bassman Didier TONNEAU (Lightnin’ Bug,…). Les huit Mousquetaires, ou les huit salopards? Plutôt les huit niveaux de conscience de TImothy Leary, ou les huit Béatitudes – mais n’est-ce finalement pas la même chose?! Turn on, tune in, drop out

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Merci les gars de m’avoir associé dès le départ à ce fantastique projet en qualité de 9ème roue de la charrette: belle aventure un peu folle-dingue de réunir sur scène autant de talents pour un soir seulement. Et pour un coup d’essai, vous nous assénez un véritable coup de maître à l’issue de semaines et de mois de répèt’ pour finir tous les 8, coudes à coudes sur cette scène presque trop étroite pour contenir votre boulimie musicale, et autant d’énergie que de bonne humeur ! Revisiter des classiques (et des moins classiques) le temps de ces accordailles d’un soir est un véritable tour de force, mes 8 gaillards, vous qui avez appris à jammer ensemble pour la circonstance pas plus tard qu’il y a quelques temps entre deux canettes et trois clopes dans ces caves voûtées de l’Entrepôt…

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Cet alliage (majoritairement) gaumais, cette joint venture musicale temporaire – et donc d’autant plus précieuse – nous ramène presque à une glorieuse époque pourtant révolue. Esbaudissez-vous, brave peuple: la quatrième dimension a vécu le temps d’une soirée seulement ! Mais en repartir s’assimile à un douloureux back to the future tant l’illusion – non: l’immersion – était parfaite. Le Projet G4 a vécu. A moins que ce one-night-all-star-band qui a marqué les esprits puisse peut-être, tel le Phénix, renaître un jour de ses cendres? Il suffirait d’un si petit souffle de Jack Danniel’s pour raviver ses braises rock’n’rollesques encore tellement incandescentes…

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** LA BANDE ORIGINALE DE MA VIE… **

ll était un temps où la photo n’était qu’argentique, et où il n’était pas aisé de pénétrer dans une salle de concert avec un boîtier 24×36… Il était un temps où Forest National était le temple – quasi unique – du rock en Belgique, où Torhout était le fidèle jumeau de Werchter, et où les tickets s’achetaient encore en francs belges. C’était le temps d’ Impédance sur les antennes de la RTB qui n’était pas encore la RTBF, l’époque où Philippe Manœuvre sévissait le soir sur France Inter et Antoine de Caune à Antenne2 alors que Francis Zégut (alias El Zegut) hurlait Wango Tango sur RTL radio. C’était du temps de Follies sur la RTB, des Enfants du Rock à la télévision française, ainsi que de Rapido, de Chorus, de Chewing Rock et – déjà – de Rockpalast
C’était le temps où le 33 tours et les cassettes étaient le quotidien des ados – voire des jeunes adultes que nous étions déjà… C’était l’âge d’or où le rock n’était pas synonyme de formatage commercial à outrance et où les radios dites libres tenaient la dragée haute au service public et aux radios commerciales. C’était l’époque où le rock était arrivé à maturité avant de (se) décliner puis de s’éparpiller en une multitude de mouvements, d’écoles et de styles qui lui firent autant de bien que de mal… C’était aussi l’époque de Pierre Rapsat et de FN Guns à l’A10, de Front242 à l’Encan, des Nits à La Casa ou à Roland Van Campenhout à l’Ecume des Jours, d’Iggy Pop au Marktrock et de Téléphone sur la Plaine des Manœuvres. C’était du temps des Gangsters d’Amour au Marché Couvert et des Running Shoes, de Dole et des Chamallows à travers toute la sainte Luxie, de David Bowie que j’ai vu accompagné de Peter Frampton dans l’Olympic Arena de Los Angeles, de Georges Harrison à Leuven, du Chest’Rock au Tchesté. C’était du temps de tous ces concerts aux Fêtes de Wallonie, entre TC Matic à gauche et Chris De Burgh à droite, Jo Lemaire et son Flouze d’un côté et Les Révérends du Prince Albert ou Jimi Cliff de l’autre, de William Dunker et de tous ses puissants concerts organisés au gré des Fêtes de la Musique ou d’autres initiatives locales. Cré Tonnerre qui fait des vagues par-ci, Steel qui déclenche des tsunamis par-là, et quantité, quantité d’autres encore… Des concerts parmi tous ceux dont je n’ai plus ni photos ni tickets d’entrée – dommage ! – au contraire de tous ceux repris sur ce blog.
C’était du temps où il était permis de fumer lors des concerts (c’est dire ce qui était interdit…). C’était avant le GSM, avant le PC, avant internet, avant le téléchargement et le peer to peer, avant le MP3 et le MP4, avant YouTube et FaceBook. Bref: une autre époque, un autre monde, un autre temps, une autre dimension que retrace de manière anti-chronologique depuis 1980 cette bande originale de ma vie

Mai 2008: l’idée me prend d’entamer un long, lent, minutieux et laborieux travail de dépoussiérage de mes archives et surtout de mes souvenirs rock’n’rollesques.
Après des jours et des semaines et surtout un nombre incalculable de soirées, mon blog voit le jour en ce joli mois d’octobre 2008. Il est né en 5 mois de compilation de la bande originale de ma vie, articulée autour de plus de 28 années de concerts auxquels j’ai assisté. Et que je retrace de mémoire, et en images pour les plus récents (images brutes, non retravaillées donc, ni recadrées – sinon où serait le mérite du photographe ?!).
Découvrez le tout, vous qui avez été peu ou prou à mes côtés pendant tout ce laps de temps pour un concert, pour cinq, pour dix, – et plus si affinités (musicales…). Evidemment, ma mémoire a pu me jouer des tours: il est plus confortable de retracer mon vécu de concert au jour le jour à partir de ce joli mois d’octobre 2008 que de plonger dans les arcanes de mes neurones pour retrouver mes sensations et souvenirs d’antan…
Coups de gueule et coups de cœur : rejoignez-moi, retrouvez-vous, remémorez-vous ces souvenirs, ces moments et ces anecdotes. Mieux: partagez-les en enrichissant ce blog de vos propres commentaires si vous le souhaitez.

Appreciate: All the World is a Stage ! Keep on keepin’ on rockin’, Ol’ Chaps