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Go go go pour Tom ODELL à la Rockhal ce 19 mars (org. Den Atelier) après s’être fait exploser avec SHAKA PONK en tournée d’adieu(x) (?) à Forest National (Bruxelles) ce 14 mars, puis le retour sur la route de UGLY KID JOE à La Ruche Verrière de Lodelinsart le lendemain 16 mars 2024…

Soon online et déjà dans notre galerie de portraits à l’instar de toutes nos précédentes reviews…

Un ch’tit coup d’oeil dans notre rétroviseur ? C’est par ici :

Et comme toujours en français in ze texte: last & latest footages, shootings & reviews in our specific GALERY « From backstage to frontstage ». NO Photoshop. NO Ligthroom. NO RAW format. NO numeric nor digital overdub : ONLY pure one-shot JPEG !

Blackberry Smoke’s Brit TURNER , R.I.P. (1967-2024)

Brit TURNER, batteur et membre fondateur de Blackberry Smoke, est décédé ce 04 mars 2024 à l’âge de 57 ans. Diagnostiqué avec un glioblastome (cancer du cerveau), il avait été opéré d’une tumeur cérébrale en novembre 2022 tout en poursuivant enregistrements et tournées. La preuve en est qu’il y a quasi un an jour pour jour, le 23 mars 2023 très exactement, qu’écrivions-nous à l’occasion du set de Blackberry Smoke à Leuven ? Tristement prémonitoire et funestement annonciateur…:

 » (…) Tumeur au cerveau… Elle n’aura pas eu cette fois encore la peau du valeureux Brit Turner, mais presque. Avant même la mi-concert, Charlie Starr interrompt subitement le set et explique pour ceux qui, comme nous, ne l’auraient pas remarqué, que le frère Turner est en passe de tourner de l’oeil derrière ses fûts et qu’il leur faut stopper net les réjouissances. Un roadie emmène fissa backstage Brit tandis que les autres membres s’éclipsent sans mot dire. Silence. Lourd et long, long silence bien des minutes durant face à une scène vide et plongée dans la pénombre. Charlie revient finalement au micro, sa gratte sèche en bandoulière, pour annoncer au public encore sonné et silencieux que le set est terminé. En guise de maigre consolation, accompagné des deux autres guitares qui le rejoignent, le trio nous gratifie toutefois sobrement de deux ultimes morceaux en version unplugged, avant de saluer définitivement et humblement l’assemblée. Les connoisseurs savaient, nous pas: Brit Turner souffre d’une tumeur au cerveau qui, régulièrement, prend le dessus mais surtout ses commandes neuronales. Jusqu’au jour où ces douloureux malaises auront définitivement raison de lui: si ce n’est pas encore ce soir, Dieu seul sait quel soir sera son dernier set. Les deux heures de concert prévues sont amputées de moitié, avant que l’assemblée – sold out – ne se disperse dans un silence et une retenue dont les murs du Depot ne doivent pas être coutumiers (…) « .

Now online : The PINEAPPLE THIEF @ Neunkirchen, 26 février 2024

Le plaisir de découvrir une salle inconnue est toujours aussi prégnant, a fortiori lorsqu’elle se situe dans un cadre aussi « steel » que celui de la Neue Gebläsehalle de Neunkirchen (Saarland). Au pied du haut-fourneau et entourée d’immenses cheminées parfaitement conservées, mises en valeur par des faisceaux de lumières multicolores, la Gebläsehalle ferait presque passer la Rockhal pour un décor de pacotille – m’enfin, n’exagérons pas non plus. Now online: The PINEAPPLE THIEF qui nous livre tout chaud sorti de l’écrin son dernier « It Leads To This ». Now online et toujours dans notre galerie de portraits à l’instar de toutes nos précédentes reviews…

The PINEAPPLE THIEF – Neunkirchen, 26 février 2024

C’est étrange mais heureusement pas fréquent que des concerts ne laissent que peu de sensations à leur issue, si ce n’est un sentiment mitigé qu’on ne sait pas précisément qualifier de positif ou de négatif mais qui tendrait plutôt vers le neutre, voire le mièvre. De l’heure trois-quart de concert que nous a généreusement gratifiés The PINEAPPLE THIEF (excusez du peu), il n’y a rien, strictement rien à jeter des 45 dernières minutes durant lesquelles le show a littéralement décollé et pris son véritable envol, sa véritable dimension. Et la set-list n’y est probablement pas pour rien…

Quant à la première heure de la soirée, on n’a pas toujours su sur quel pied danser, comme si le groupe cherchait la recette d’un élixir perdu. Si The PINEAPPLE THIEF a appris à nous surprendre en n’étant pas marié à un seul genre, le band a néanmoins peiné à faire décoller et à faire vibrer une assistance pourtant toute acquise à sa cause semble-t-il, et venue en nombre même si le show n’affichait pas sold-out à l’inverse de bien des dates de cette tournée.

Il y a comme ça de ces groupes qu’on préfère presque sur CD que sur scène, du moins comme ce soir lorsque la performance live semble en définitive n’apporter pas grand chose à la version studio. Pour d’autres, c’est l’inverse : certains bands ne trouvent leur pleine dimension et leur pleine démesure que dans le feu roulant du live – mais ce n’est manifestement pas ce soir le cas de nos Anglais.

Même Gavin HARRISON – qui pourrait presque justifier à lui seul notre présence ce soir – semble ne faire que de la figuration ou du simple accompagnement musette si l’on osait. La sonorisation de sa caisse claire à elle seule n’est pas étrangère à ce presque désastre en gâchant toutes les percussions 105 minutes durant. Que ne s’est-on pas attaché à résoudre le problème dès son premier coup de baguette, nom de nom ?

On ne peut manquer d’avoir Porcupine Tree en arrière-pensée quand on assiste à un show de The PINEAPPLE THIEF, un de ses poulains au sein de l’écurie Kscope au même titre qu’un Anathema par exemple ou de ces quelques bands tombés petits dans la potion magique dénommée Steven Wilson. La présence de Gavin HARRISON ne fait que renforcer ce sentiment d’autant plus que Randy McSTINE ouvrait cette soirée par sa (dispensable) prestation solo en opening act. A noter donc pour notre prochain The PINEAPPLE THIEF : se sortir SW de la tête et bannir PT de notre esprit…

MC5’s Brother Wayne KRAMER – R.I.P. 1948-2024

It takes five seconds… And right now, right now it’s time to KICK OUT THE JAMS, Brothers & Sisters ! Il faut se faire à l’idée, ou plutôt à l’imparable et implacable constat : ont commencé et vont continuer à nous quitter, les uns après les autres, les pères fondateurs du rock’n’roll des sixties – voire du début des seventies. Aujourd’hui est venu le tour de Brother Wayne KRAMER (30 avril 1948 – 02 février 2024), légendaire cheville ouvrière du pour le moins militant MC5 qui vient tout juste d’être rappelé par les dieux Décibels. Sic transit gloria mundi...

Il y a des moments qui marquent la vie d’un homme, ou à tout le moins celle d’un amoureux du real rock’n’roll. Et côtoyer une légende vivante, un des authentiques pères fondateurs du (hard)(punk) rock américain qu’est Brother Wayne KRAMER en est un. C’était en 2018 déjà, lors de la tournée du 50ème anniversaire de MC5 1968 – 2018 à l’occasion de laquelle KRAMER rebaptisa son MC en MC50 en s’entourant au passage de Billy Gould (Faith No More) et de Kim Thayil (Soundgarden) notamment – excusez du peu. Nous savourions backstage la prestation de The Bronx sur la mainstage du Sjock Festival quand nous réalisons soudain que le petit bout d’homme venu depuis un bon moment se planter à nos côtés pour faire de même n’était rien moins que Wayne KRAMER himself. Le temps de reprendre – quand même – un peu nos esprits, de le saluer poliment comme si de rien n’était, comme s’il faisait partie d’un quelconque crew, voilà t’y pas qu’il nous tend la main avec un large sourire qui barre son faciès presque juvénile.

Nous resterons un long moment encore côte-à-côte avec cet homme à l’allure jeune et svelte, tout aussi élégant que distingué. Néanmoins, le volume sonore de la prestation de The Bronx nous empêchera d’entamer une véritable conversation une fois les banalités de circonstance échangées. Puis Sir KRAMER de tourner les talons et de repartir peinard vers sa loge-container. Ainsi donc, Bro Wayne KRAMER vient de nous serrer la main : nous faut-il éviter de la laver pendant quelques semaines ?! Il reviendra peu après pour assister à la fin de la puissante prestation de The Bronx, ces derniers insistant ensuite poliment auprès du photographe accrédité que nous sommes pour que nous leur tirions le portrait alors qu’ils entourent The Legend afin d’immortaliser un moment qui semble manifestement compter pour eux aussi.

Puis vient l’échauffement de MC5(0) backstage toujours à nos côtés, et KRAMER de laisser involontairement tomber son mediator par terre, juste à nos pieds. Nous le ramassons prestement pour le lui tendre tout aussi fissa ; KRAMER nous répond simplement avec son seul sourire dont il semble ne jamais se départir en nous lançant un chantant « It’s for you…! ». Ce mediator jaune que nous conservons précieusement depuis lors demeure – outre nos clichés – presque le seul élément tangible et matériel qui fait que cette rencontre ne fût pas un rêve éveillé ni un fantasme…

Nous croiserons à nouveau Bro Wayne KRAMER quelques semaines plus tard dans le baskstage du Sinner’s Day Festival 2018 où MC5(0) est également à l’affiche. Guère l’occasion à nouveau de lui adresser longuement la parole, KRAMER étant accaparé entre deux échauffements par les co-headliners Fisher Z (John Watts), John Cale, etc. manifestement honorés voire impressionnés de partager l’affiche et la scène avec Mister MC5 himself. Nous étions en 2018 ; c’était hier, mais nous ne reverrons malheureusement plus cette grande figure de son vivant, ce véritable père fondateur de la bande originale de notre vie.

Kick Out The Jams, Brothers & Sisters ! C’était en 1968 déjà. C’était 5 gars de Detroit, Motor City (MC5). C’était sur la scène du légendaire Grande Ballroom que partageaient déjà à l’époque d’autres monstres sacrés de la Motor City, Alice Cooper, Ted Nugent, Bob Seger, Iggy Pop & The Stooges,… qui aujourd’hui saluent unanimement sa mémoire. C’était l’heure de gloire de Detroit et de ce son industriel, garage-rock qui poussait chaque band à jouer plus fort que son concurrent. C’était l’heure de gloire du rock from Detroit, aux antipodes des beatniks de la côte Ouest et des hippies de San Francisco. C’était testostérone versus shit, décibels versus peace & love. C’était viril, c’était garage, c’était rock’n’roll, c’était Detroit Motor City Madhouse. RIP Brother Wayne KRAMER, 30 avril 1948 – 02 février 2024. Tempus Fugit

Rock’n’Roll is NOT forever…

On ne peut pas prétendre en ce 09 janvier 2024 que le rock’n’roll circus ait perdu un batteur iconique et que la scène mondiale soit orpheline d’une figure irremplaçable, même si James Kottak (26 décembre 1962 – 09 janvier 2024, paix à son âme) pouvait s’y connaître en matière de cirque. Si le metalhead moyen a pu le découvrir derrière les futs de The SCORPIONS, les connoisseurs garderont plutôt de lui son souvenir à la manoeuvre de KINGDOME COME à la fin des eighties. Et là, on peut franchement écrire qu’il n’était pas mauvais – que du contraire. James Kottak, sans doute le premier d’une longue série encore de disparition en cette nouvelle année qui débute…

GOV’T MULE (feat. Warren HAYNES) – Cirque Royal de Bruxelles – 17 novembre 2023

Une bien étrange soirée dans un des plus belles salles du Royaume, que ce concert du MULE. D’abord parce que ce Cirque Royal ne draine pas la foule des grands jours : seuls le parterre et le premier balcon affichent complets ce soir, les autres étages et gradins restant désespérément vides de chez vide. La plus belle salle de la capitale a bien pâle figure pour accueillir le MULE et c’est à se demander avec une pointe d’angoisse où est donc bien passé le bon peuple de sa Majesté ?!

Etrange soirée ensuite parce qu’il a bien failli nous faire fuir à l’entracte, le Warren, avec sa set-list un tantinet soporifique (oui, on peut le dire) et surtout bien trop jazzy pour nos southern ears qui attendaient du southern blues-rock tel qu’il sait nous le balancer dans les gencives. Il s’en est donc fallu de peu pour que nous prenions nos jambes à notre cou à l’intermission, et seuls nos jetons-boissons en abondance dans le fond de nos poches nous ont incité à finalement rester pour le second set. Que Dieu bénisse ces jetons !

Tout est bien vite rentré dans l’ordre (des choses) et revenu dans la (notre) norme, en fait dès le dernier morceau du premier set qui annonçait un second d’une toute autre facture – comme un appel du pied pour mieux nous garder. Et quelle facture, mes amis: une véritable exploration multi-genres auquel GOV’T MULE nous a habitués depuis bientôt trois décennies, du blues pure souche au reggae en saupoudrant le tout par quelques passages dub, sans oublier un gros zeste de southern rock de la meilleure veine bien évidemment, puis encore un peu de jazz et même un tantinet de fusion. Bref, du Warren HAYNES, ni plus ni moins….

Place belle a été laissée à Peace…Like a River, la dernière galette du groupe où les explorations instrumentales caractéristiques du MULE sont enjolivées par les thèmes lyriques (lyrics) et profonds de HAYNES qu’il a affirmé avoir maturés durant le confinement. Kevin SCOTT, le nouveau bassiste qui remplace définitivement Jorgen Carlsson, étale un magistral jeu de basse qui n’a rien à envier à son prédécesseur, tandis que Warren HAYNES t’allonge des uppercuts dans un gant de velours sans jamais avoir l’air d’y toucher.

Hommage à Bob Marley avec l’immense Lively Up Yourself ainsi que les petits clins d’oeil à Led Zeppelin avec le thème de Black Dog suivi de peu par un petit détour du côté de In memory of Elisabeth Reed du Allman Brothers Band. Une bande-son dont malin qui pourrait en définitive dire si elle date des seventies où si elle est tout juste sortie du bouillonnant et prolixe cerveau d’un HAYNES qui n’arrêtera jamais de nous surprendre.

Si les Allman Brothers ne sont bien évidemment jamais loin quant il s’agit de Warren HAYNES, celui-ci est bien moins prolixe que ses grands frères : immuable silencieux devant l’Eternel, le gaillard ne nous gratifiera de son organe que pour égrener ses lyrics. A moins que peut-être quant même pour un furtif Hello en début de set et un improbable Thank You en quittant les lieux ? Il faudra checker la boite noire…

Alain Pire Experience – Jamoigne, 04 novembre 2023

Un set d’Alain Pire Expérience (aka APEx), c’est un peu comme une immersion dans un bain de jouvence baigné de sons venus parfois d’une autre époque, lové d’une atmosphère un tantinet surannée. Mais c’est aussi des compos manifestement modernes et envolées, enfantées d’un génome psyché et dotées d’un ADN contemporain qui ne renie pas ses origines sixties et seventies. Envie d’en savoir plus ? Excellente initiative…!

Now online : KVELERTAK @ Rockhal – 25 octobre 2023

Pour certains, le black’n’roll des Norvégiens s’agrémente aujourd’hui d’un côté beaucoup plus mid-tempo voire limite pop-punk et donnerait à voir une autre facette de ce sextet dont, pour nous, l’énervement et la débauche d’énergie restent l’in-con-tes-ta-ble marque de fabrique. Faudrait pas non plus nous faire prendre des vessies pour des lanternes, des fois !

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KVELERTAK – Rockhal, Esch-sur-Alzette, 25 octobre 2023

Six Viking sur scènes, dont 3 lead guitars et 4 background vocals : il n’y a pas à dire mais KVELERTAK dépote. Les Norvégiens n’ont certes pas inventé l’eau tiède (ni même la chaude ni la froide non plus d’ailleurs), mais leur black’n’roll s’avère une tornade rafraichissante parce qu’elle ne s’encombre pas de fioritures. On ne fait pas dans la dentelle ce soir, ni dans celle de Bruges pas plus que dans celle de Bayeux ou la métallique de Esch. KVELERTAK, trois lead guitars qui crachent des flammes sans toujours identifier la bouche à partir de laquelle le dragon a choisi de faire parler le feu. KVELERTAK, une rythmique apocalyptique qui monte bloc après bloc son mur de fond à l’avant-plan. Et aux lead vocals, une espèce de pantin hurleur désarticulé qui confond pole bar et pied de micro.

Le black’n’roll de KVELERTAK consiste – comment dire ? – en un mélange de punk hardcore, de black métal et de rock’n’roll – un style aussi improbable qu’est imprononçable l’appellation du combo norvégien. Efficaces et basiques, les compositions prennent néanmoins une toute autre envergure sur scène lorsque la vue décuple l’ouïe – on ne vous parle pas du dress code des gars fringués comme s’ils prenaient le métro pour aller au taf, mais bien d’un sextet qui investit pleinement la scène, l’avant-scène et l’arrière-scène à l’instar d’une bande son qui remplit la boite crânienne jusqu’à son moindre millimètre cube…

Pas une goutte, pas une goutte de sueur ne perle sur le front du batteur à l’issue du set. Comment est-ce Dieu possible ?! A peine une auréole sous les aisselles, peut-être ?! Il y a de ces gars pour qui l’expression « mouiller sa chemise » semble n’avoir aucune signification alors même qu’ils en seraient a priori la plus parlante illustration. A moins que ce Kjetil Gjermundrød (vous nous le prononcerez cinq fois d’affilée avec un marshmallow en bouche) ne performe peut-être pour une marque de déodorant qui en fera sa prochaine égérie masculine ? Ou s’agit-il plutôt d’Håvard Takle Ohr ? On parlerait norvégien qu’on lui aurait demandé…

L’affluence relativement réduite de la Rockhal Club ce soir n’empêche cependant pas ces nordistes de garder leur sens de l’humour. Un silence pesant règne dans le Club entre deux morceaux, alors que les applaudissements se dissipent aussi rapidement qu’ils n’ont surgit la dernière note envolée. De quoi faire susurrer dans son micro notre Ivar Nikolaisen pour chuchoter à l’oreille des chevaux que c’est sans doute comme ça que ça se passe habituellement au Grand-Duché…

KVELERTAK a donc fait le job ce soir, ni plus, ni moins, même s’ils n’ont ménagé nul effort. Manquait probablement un zeste d’interaction et un soupçon de comm’ avec un public aux abonnés absents qui n’a donc guère aidé les Norvégiens à écarter les murs de la Rockhal. CANCERT BATS officiait en première partie: une pâle prestation teintée de clichés et de lieux communs qui amènera autant d’eau au moulin des détracteurs du genre…