Now online : DANKO JONES @ Rockhal – 03 mai 2018

Maintenant en ligne, DANKO JONES plus hilarant et plus déchaîné que jamais @ Rockkhal, 03 mai 2018 : "One of the most ridiculously entertaining and exciting live bands on the planet…" (puisque c’est la Rockhal qui le dit).

Danko_Jones_Rockhal_03mai2018.jpg

Now online : TOTO @ Rockhal – Esch-sur-Alzette

Maintenant en ligne : TOTO40th Anniversary Tour 2018 – Rockhal.

Toto_Rockhal_29mars2018_0220.JPG

TOTO – Rockhal @ Esch-sur-Alzette – 29 mars 2018

Toto_Rockhal_29mars2018_0324.JPG
Les platoniciens croyaient que toutes les connaissances que nous acquérons ne sont que des réminiscences de ce que nous avons su avant notre naissance. Nos réminiscences, quant à elles, sont bien postérieures: elles remontent à la toute fin des seventies, puis au début de "nos" golden eighties durant lesquelles TOTO était l’une des composantes soft de la bande originale de notre folle jeunesse. Et plus particulièrement celle de nos blocus universitaires, quand la médiathèque suppléait les carences de la bande FM naissante pourtant pas avare en tubes estampillés TOTO. Ô tempora, ô mores…

Toto_Rockhal_29mars2018_0003.JPG Toto_Rockhal_29mars2018_0164.JPG Toto_Rockhal_29mars2018_0072.JPG Toto_Rockhal_29mars2018_0220.JPG Toto_Rockhal_29mars2018_0011.JPG Toto_Rockhal_29mars2018_0032.JPG

Alors que bien des monstres plus ou moins sacrés tournent cette année à l’occasion de leur 50ème anniversaire (comme Barclay James Harvest il y a 3 jours ici-même), alors que quelques autres glorieuses formations ont déjà passé ce cap du demi-siècle, TOTO fait presque figure de petits jeunots à peine secs derrière les oreilles avec ce 40th Anniversary Tour.

Toto_Rockhal_29mars2018_0036.JPG Toto_Rockhal_29mars2018_0246.JPG Toto_Rockhal_29mars2018_0081.JPG

Après l’hégémonie des trois frères Porcaro qui a tristement pris fin non sans laisser un indéniable et appréciable héritage, Steve Lukather demeure après quatre décennies sur la route le pivot central et le moteur de la formation. Et ce constat se confirme – du moins sur scène – au gré des shows de TOTO auxquels nous avons pu assister à raison d’au moins un par décennie – mais bien plus en réalité, sans plus aujourd’hui les compter. Dans la cuvette de Forest National il y a 2 ans encore, Lukather nous avait éclaboussé.

Toto_Rockhal_29mars2018.jpg
Mercenaire de première classe, la fine gachette Lukather continue de tirailler à gauche-à droite pour le compte des plus grands quand il n’est pas aux commandes de "son" vaisseau-amiral TOTO. Et entre tireurs que nous sommes, chacun dans nos domaines respectifs, le plaisir et l’honneur demeurent pour nous de (lui) tirer (le portrait) à bout-portant, ce soir encore en singulier duel.

Toto_Rockhal_29mars2018_0281.JPG Toto_Rockhal_29mars2018_0323.JPG Toto_Rockhal_29mars2018_0289.JPG

Le sésame-photo dont nous crédite le tour management demeure comme à chaque fois la plus chaleureuse reconnaissance qu’un band – fusse-t-il TOTO ou un autre – puisse nous témoigner. Nombreux sont les appelés, mais toujours aussi peu d’élus peuvent-ils finalement arpenter le front stage tant que ces divas (de l’image aussi) auront décidé de ne pas confier leur sort entre les mains de n’importe quel objectif.

Toto_Rockhal_29mars2018_0089.JPG Toto_Rockhal_29mars2018_0135.JPG Toto_Rockhal_29mars2018_0126.JPG Toto_Rockhal_29mars2018_0147.JPG

Une première heure dense, tonique et au rythme hyper soutenu – bref: quasi parfaite – nous donne à jouir du TOTO qu’on apprécie tout particulièrement: rock’n’roll à souhait et électrique à profusion pour qui aurait oublié que TOTO n’est pas qu’une machine à tubes mainstream de l’acabit de Rosanna ou de Hold the Line, mais aussi et surtout une machine de guerre quand on la désamorce. Cette pleine heure précède un passage à vide semi acoustique que nous qualifierons péjorativement de "mielleux et à la Steely Dan". Cette baisse de pression dans le turbo durera le temps que les 8 gars relancent la machine de plus belle pour une prestation de 02h10′ finalement, que clôture un puissant Africa en guise de bouquet final.

Toto_Rockhal_29mars2018_0132.JPG Toto_Rockhal_29mars2018_0201.JPG Toto_Rockhal_29mars2018_0194.JPG Toto_Rockhal_29mars2018_0239.JPG

En définitive, bel exploit sur la durée pour cette bande de sexagénaires bien conservés pour la plupart, quoique leurs 5 minutes de rappel mollasson et peu enthousiasmant ne soit pas la meilleure option pour se quitter sur une bonne dernière impression. Celle-ci ne ternit cependant en rien cette soirée dans une Rockhal qu’on n’avait plus vue aussi remplie (sold out ?) depuis belle lurette. En guise d’au revoir, Lukhater nous fixe rendez-vous en 2028 pour les 50 ans du band: tout comme il le fait remarquer, on espère nous aussi en être. Et même plus d’une fois d’ici là…

Toto_Rockhal_29mars2018_0272.JPG Toto_Rockhal_29mars2018_0214.JPG Toto_Rockhal_29mars2018_0321.JPG Toto_Rockhal_29mars2018_0308.JPG

Allez Steve, il te reste donc encore un peu de temps pour porter ton While My Guitar Gently Weeps – version Jeff Healey – à la cheville de celle d’Alain Pire. Oui, oui, on assume pleinement et on soutient la comparaison (Alain, pour nous ce sera un Orval – merci).

20227.jpg

BARCLAY JAMES HARVEST – Rockhal – 26 mars 2018

IMG_5011.JPG
Il y a des concerts pour lesquels on nourrit comme un drôle de pressentiment bien avant d’en pousser les portes d’entrée. BARCLAY JAMES HARVEST fait partie de ceux-là, et nos mauvais pressentiments ne nous trompent malheureusement que rarement.

BarclayJamesHarvest_26mars2018_0040.JPG BarclayJamesHarvest_26mars2018_0005.JPG BarclayJamesHarvest_26mars2018_0046.JPG BarclayJamesHarvest_26mars2018_0037.JPG BarclayJamesHarvest_26mars2018_0065.JPG BarclayJamesHarvest_26mars2018_0072.JPG

Non pas que Les HOLROYD et sa bande loupent le coche, non non non. Mais quand on ne brûle plus pour sa musique, à quoi bon encore en jouer si ce n’est pour arrondir ses fins de mois ou pour meubler ses longues soirées ?! Quand on n’a plus le feu sacré – ou qu’on le dissimule sacrément bien, comme peut-être ce soir – à quoi bon encore arpenter les routes du rock’n’roll circus ? Et c’est comme qui dirait l’impression que BARCLAY JAMES HARVEST nous laisse.

BarclayJamesHarvest_26mars2018_0030.JPG BarclayJamesHarvest_26mars2018_0075.JPG BarclayJamesHarvest_26mars2018_0085.JPG BarclayJamesHarvest_26mars2018_0103.JPG

Avec un Club de la Rockhal chichement garni ce soir de bedonnants dégarnis et de ménopausées sur le retour, nous sommes en 2018 loin, bien loin du firmament de BJH dans les eighties notamment. Qui présentement ne se souvient pas de ce point d’orgue des Anglais par un beau 30 août 1980, offrant une prestation folle-dingue devant le Mur de Berlin, mais surtout devant plus de 175 000 fans ?!

BarclayJamesHarvest_26mars2018_0082.JPG BarclayJamesHarvest_26mars2018_0077.JPG BarclayJamesHarvest_26mars2018_0090.JPG BarclayJamesHarvest_26mars2018_0108.JPG BarclayJamesHarvest_26mars2018_0105.JPG BarclayJamesHarvest_26mars2018_0116.JPG

Ainsi donc, entre Prozac et Xanax, BARCLAY JAMES HARVEST est sur les routes pour célébrer cette année son 50th Anniversary Tour – à l’instar d’autres vieilles gloires plus ou moins formolisées qui croiseront Les Holroyd en 2018 pour la tournée de leur 50ème également – YES et JETHRO TULL pour ne citer qu’eux (Jet Rotule – comme disait ma Maman). Manière de nous rappeler que l’Angleterre d’il y a un demi siècle n’a pas engendré que des dames de fer (et nous ne visons pas particulièrement Iron Maiden).

BarclayJamesHarvest_26mars2018_0101.JPG
Cher Les HOLROYD, ne vous méprenez pas à notre sujet: loin, très loin de nous l’idée de dénigrer BARCLAY JAMES HARVEST. Nous sommes simplement attristé de constater qu’il n’est pas donné à tout le monde de vieillir comme il a vécu. Après tout, nous aussi on a des jours où on bande mou. Mais à notre décharge – façon de parler – disons qu’il y a moins de monde pour en jouir – façon de parler toujours.

BarclayJamesHarvest_26mars2018_0034.JPG

Now online : Steven WILSON @ Rockhal (Esch – 10 mars 2018)

WILSON aura-t-il été en capacité d’atteindre au Luxembourg le même degré de perfection musicale et scénique que la veille à Bruxelles ?
Et si poser la question était en quelque sorte y répondre…?!

SAMSUNG CAMERA PICTURES

An Evening with Steven WILSON – Rockhal @ Esch-s/-A. – 10 mars 2018

StevenWilson_Rockhal_2018.jpg
Backstage, ce sont dans leurs racks toujours estampillés PORCUPINE TREE que guitares et basses fourbissent leurs effets en attendant leurs maîtres. A la fois le signe que WILSON revendique toujours fièrement le glorieux passé de sa première vie, et pour qui en douterait encore la confirmation que sa set list fait toujours la part plus que très belle à ces pièces-maîtresses d’une époque maintenant révolue. Qu’importe, pour les fins gourmets, Steven WILSON et PORCUPINE TREE c’est chou vert et vert chou.

SAMSUNG CAMERA PICTURES SAMSUNG CAMERA PICTURES SAMSUNG CAMERA PICTURES

Hier à Bruxelles, WILSON nous contait les péripéties de ses dernières dates allemandes – dont celle de Essen où il eut l’impression de jouer dans un cimetière (sic). Ce soir au Luxembourg, il nous narre sa toute aussi récente expérience finlandaise, se produisant face à des parterres assis peu enthousiasmants (re-sic), avec bobonne qui se morfond dans son fauteuil à côté de môsieur qui, lui, ne trouve pas du tout le temps aussi long qu’elle (re-re-sic). Bah ! ce n’est pas qu’Allemands et Finlandais n’appréciaient pas, c’est simplement qu’ils ont selon lui quelques difficultés à l’exprimer. Ah ah ah, british humour welcome…

SAMSUNG CAMERA PICTURES SAMSUNG CAMERA PICTURES SAMSUNG CAMERA PICTURES

Certains intellectuels culs-serrés en manque de bonnes phrases décrivent l’actuelle production de WILSON comme un chaos paranoïaque en provenance directe de l’ère post-vérité (hein ?! càd ?!). Nous nous contenterons pour notre part d’assimiler ce An Evening With Steven WILSON à un cliché en haute définition des temps déconcertants dans lesquels nous vivons: Steven Wilson nous les dépeint depuis l’horreur rampante de la technologie omniprésente à l’observation humanoïde de notre quotidien, de sa dramatique actualité à la déconcertante résilience dont la race humaine peut faire preuve en ces temps chamboulés (hein ?!). Pause.

SAMSUNG CAMERA PICTURES SAMSUNG CAMERA PICTURES SAMSUNG CAMERA PICTURES

Pour la bonne bouche, WILSON reste fidèle à lui-même d’une tournée à l’autre, continuant de fustiger les manchots qui brandissent à bout de bras leur smartphone pour poster sur YouTube une minable vidéo de m… (sic) qui n’intéressera en définitive strictement personne vu la quantité de vidéo de shit (re-sic) déjà présentes. Enjoy the show, les gars, plutôt que d’emm… ceux qui tentent d’en profiter derrière vous.

StevenWilson_Rockhal_10mars2018_0097.JPG
Steven WILSON, c’est comme le bouchon jeté à la mer: les plus grosses vagues (musicales) et les plus puissants courants (des modes) n’auront jamais raison de lui, qui restera toujours bien au-dessus de tous ces insignifiants remous ou de ces redoutables vagues de fonds.

SAMSUNG CAMERA PICTURES SAMSUNG CAMERA PICTURES SAMSUNG CAMERA PICTURES

Deux Steven WILSON d’affilée – hier à Bruxelles, ce soir au Luxembourg – c’est comme se resservir de dessert après le plateau de fromages. C’est comme s’offrir le vol retour en 1ère classe après avoir voyagé en economy à l’aller. C’est dans cette volupté non nécessaire qu’on découvre finalement le plaisir superflu et coupable qui rend le moment présent d’autant plus jouissif que fondamentalement essentiel. Rétrospectivement s’entend (hein ?!).

Richie KOTZEN @ Rockhal – 19 septembre 2017

Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0164.JPG
Dans la liste des most underated guitaristes-compositeurs, Richie KOTZEN figure malheureusement dans le top. A l’instar d’ailleurs d’un Franck Marino dont il partage le doigté et la technique, au point de presque les confondre pour peu qu’on ferme les yeux ce mardi soir à la Rockhal et qu’on s’imagine ailleurs…

Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0007.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0029.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0074.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0040.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0106.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0026.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0112.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0044.JPG

L’assistance relativement clairsemée se dispersera au compte-goutte en fin de concert, sans même attendre l’ultime note de cet ultime show à l’affiche du Richie Kotzen World Tour 2017 – un comble. Ce n’est néanmoins pas faute d’avoir tout donné, le bougre: le maestro nous balance un set de plus de deux heures, troquant de temps à autres sa six cordes pour le clavier, mais sans que jamais la sauce ne prenne vraiment.

Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0121.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0059.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0038.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0020.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0043.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0116.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0141.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0010.JPG

Allez comprendre la chimie et l’alchimie qui font qu’un soir, un set éclabousse et irradie, et que le lendemain la même set-list et les mêmes acteurs ne parviennent pas à décoller, à faire décoller. Parfois la magie opère, parfois pas. Ce soir, ce n’est comme qui dirait pas le cas – allez comprendre…

Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0151.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0155.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0160.JPG

Bien que KOTZEN ait réussi à trouver une notoriété au delà de son statut d’éternel homme de l’ombre, malgré le fait qu’il donne le meilleur – oui, le meilleur – de lui-même, tout ça pour nous laisser finalement une impression mitigée: c’est signé pas de chance. Cela n’enlève toutefois rien, strictement rien au mérite de l’ex-Mister Big qui n’a jamais été aussi bon qu’en configuration solo. Ou plutôt en configuration power-trio: c’est définitivement la formule la plus riche et la plus puissante qui soit, et qui permette autant d’audace(s), de complicité(s) et d’efficience sur scène.

Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0034.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0036.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0087.JPG

Chaque morceau est sujet, le temps d’une question réponse ou tout simplement suivant l’impulsion du moment, à des jams effrénés où le trio dévoile l’étendue de son talent sans limite. Ça joue sévère, avec un groove détonant, et KOTZEN n’est clairement pas le seul maître à bord.

Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0128.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0091.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0133.JPG

Une sono pourrave (fait exceptionnellement rare ici à la Rockhal que pour être souligné) et un public pressé de retrouver son lit avant même la fin du set, ajouteront cependant à l’arrière-goût mièvre d’un set pourtant magistralement mené. Mais c’est ainsi, il y a des soirs avec, des soirs sans: allez-y comprendre quelque chose…
Ah oui, on oubliait ! Mention spéciale à The KONINCKS qui assumaient l’ingrate tâche d’opening band.

Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0096.JPG TheKonincks_Rockhal_19sept2017.JPG Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0139.JPG

Maintenant en ligne : The SPARKS – Richie KOTZEN

Full review, live footage & pictures now online :
The SPARKS @ Ancienne Belgique, Brussels – 16 sept. 2017: "Our second home…"
Richie KOTZEN @ Rockhal, Esch-sur-Alzette, 19 sept. 2017

TheSparks_16sept2017_0284.JPG 07-blanc.png Richie_Kotzen_Rockhal_19sept2017_0044.JPG

Now online : SIMPLE MINDS @ Rockhal – 18 avril 2017

Maintenant en ligne : scottish party @ Rockhal (Esch-sur-Alzette) avec SIMPLE MINDS "Acoustic Tour 2017" et Kt TUNSTALL en première partie…

Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0355.JPG

SIMPLE MINDS – Rockhal @ Esch, 18 avril 2017

Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0494.JPG
SIMPLE MINDS n’a rien inventé (depuis 30 ans) si ce n’est constituer des souvenirs pour ceux qui ont vieilli avec, et graver la bande originale des folles nuits de ceux qui étaient dans la fleur de l’âge durant les eighties. New Gold Dream 81, 82, 83, 84 : SIMPLE MINDS ne peut mieux débuter son show ! La bande à Jim KERR est toutefois de ces groupes qui vieillissent comme et avec leur public, mais sans vraiment réussir à renouveler celui-ci ni à le rajeunir.

Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0408.JPG Simple_Minds_Rockhal_18avril2017.jpg Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0420.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0418.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0424.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0416.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0101.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0037.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0171.JPG

Ce n’est ainsi qu’après une heure de concert (assis) que quelques milliers de quinquas daignent enfin lever leur c… pour se trémousser sur Don’t you (Forget about me) puis enfin à se lâcher dans une Rockhal qui ne se rassoira désormais plus jusqu’à l’extinction des feux.

Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0150.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0106.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0188.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0116.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0138.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0216.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0187.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0228.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0311.JPG

Il aura donc fallu une heure pour décoincer une assistance frigidement assise alors que, de bout en bout, SIMPLE MINDS enchaîne tubes sur tubes, tous revisités dans le cadre de cet Acoustic Tour 2017 qui n’a finalement d’acoustique que le nom – appellation par bonheur aussi usurpée que trompeuse.

Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0319.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0352.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0190.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0199.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0306.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0399.JPG

Et rien que pour ce revival finement toiletté, savamment revisité, délicatement relifté mais puissamment joué, on a tout simplement envie de dire à ces Ecossais qu’ils continent tout bonnement encore à faire longtemps ce qu’ils ont toujours fait: ni plus ni moins une joviale, tonique et décapante cure de jouvence.

Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0073.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0201.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0225.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0170.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0238.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0390.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0097.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0443.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0434.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0146.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0471.JPG Simple_Minds_Rockhal_Avril2017_0485.JPG

Jim KERR, leader charismatique incontestable qu’il demeure au fil des décennies, reste définitivement maître de la scène, et même maître de cérémonie en allant jusqu’à présenter himself, en ouverture de soirée, la charmante Kt TUNSTALL qui assure une brillante 1ère partie. Scottish party de bout en bout donc, avec un virulent "No Brexit !" lancé par Kerr – ovationné – avant de faire place nette à sa charmante compatriote en avant-soirée.

Kt_Tunstall_Rockhal_April2017.jpg