♠ … ATTENTION – ♥ – WARNING – ♠ ATTENTION … ♥

Before reaching the next (previous ?!) pages, don’t forget pix & reviews of Intensities in 10s Cities – Chap. 2: From 2011 to the Present Years are online @ www.intensities-in-10s-cities.eu

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Avant de passer aux billets suivants (précédents ?!), n’oubliez pas que Intensities in 10s Cities – Chap. 2: Années 2011 et suivantes est consultable sur le site jumeau de celui-ci @ www.intensities-in-10s-cities.eu

♫… 174.205 visiteurs différents en 2013… ♫

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You’ve been 174.205 different r’n’r dogs to visit this site in 2013… ♫

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174.205 visiteurs UNIQUES : vous avez été près du double en 2013 à faire honneur à ces pixels et à ces lignes comparativement à 2012 !! Merci pour votre fidélité et votre intérêt… ☺
A tout bientôt en 2014 pour de nouvelels aventures rock’n’rollesques & a bigger big salute to you all 174.205 r’n’r dogs ’round the Rock’n’Roll Planet ♠ !!

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ARNO – Bastogne – 20 décembre 2013

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Un costume sobre à l’image de celui qu’il est devenu, c’est l’habit gris de lumière du sieur Hintjens, ARNO de son prénom. Lui tirer le portrait est une jouissance de fin gourmet: tantôt écorché vif, tantôt écorchant à vif, son faciès marqué par l’âge et les excès est comme un masque de cire aux multiples facettes. Elles sont toutes complémentaires et pourtant uniques à la fois, stigmates d’une vie de bâton de chaise tout en rayonnant d’une bonhomie joviale et d’un humour grinçant, avant d’être l’instant d’après tristes et lugubres comme un jour sans bière. Chacune de ses expressions, chacune de ses grimaces, chacune de ses gimmicks est une poésie, un roman, un tapis d’éveil pour pixels et l’occasion de passer par tous les spectres de tous les visages possibles…

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ARNO déroule toute sa belgitude déglinguée sur le plateau ardennais. De ses chères moules ostendaises à Tintin & Milou, du plat pays aux sommet de l’Ardenne, des gros robert de sa grand-mère pianiste aux iconoclastes yeux de sa mère, notre ARNO national tantôt émeut, tantôt amuse. Tantôt secoue, tantôt attendrit, tantôt remue, tantôt languit. Sa voix brisée colle à tous les registres par lesquels il transporte une salle pleine à craquer, terminant en bouquet final avec quelques classiques TCMatic pour secouer une dernière fois le cocotier. Sobre, sans dérapage ni coup d’éclat, ARNO signe un set propre et sans excès, comme pour mieux faire passer aujourd’hui par le biais de l’émotion ce qu’il transmettait auparavant à grands coups de frasques.

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Toujours aussi volubile et charmeur, il conserve le charme du vagabond qui s’est mis ce soir sur son 31 pour mieux plaire encore à sa belle: la totale classe, qui le rend encore plus séduisant ou attendrissant – c’est selon. Soutenu par un band qui groove grave et qui – parfois – déménage, tous les registres sont à la carte et transportent le public des rires au larmes, du r’n’r à la mélancolie, du poétique à l’irrévérencieux. Mais toujours avec la touchante et émouvante ARNO touch qui conserve à ce fou du roi le charme du personnage assurément le plus attendrissant et le plus entier que la scène belge ait sans doute jamais connu.

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BLACK SABBATH – Ziggo Dome @ Amsterdam – 28 novembre 2013

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Uncle Acid and the Deadbeats est l’opening band parfait pour le sabbat: un véritable apéritif qui ouvre adéquatement l’appétit avec un son lourd et lent directement inspiré du SABBATH. Great job, guys ! Mais le véritable plat de résistance s’annonce quant à lui cinq minutes avant l’heure dite, à grand renfort de I can’t fu****g hear you, fu**ers… et autres Let’s go fu****g crazy ! Rien de bien neuf dans la bouche d’Ozzy somme toute, éructant depuis le backstage alors même que le rideau ne s’est pas encore levé et que le Ziggo Dome tout éclairé demeure dans l’attente de l’heure H.

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Entrée en matière classique donc, mais qui fait toujours son petit (et moins petit) effet: on a beau le savoir et s’y attendre, le plaisir reste intact ! Et il en est de même pas moins de 120 minutes durant, pour ce qui doit être dans l’absolu – et de mémoire parfaitement subjective – notre meilleur SABBATH. Non pas qu’Ozzy soit particulièrement plus en verve que les précédentes fois: fidèle à lui même, à ses mixtures et à ses seaux d’eau (à usage exclusivement personnel cette fois-ci), il dodeline de gauche à droite en arpentant la scène et en se la jouant chaudement complice avec ses potes. Non pas que ce soit un véritable soulagement de retrouver un Tony IOMMI au meilleur de sa forme, comme si cette saloperie de cancer (qui avait eu pour conséquence d’annuler la précédente tournée – voir par ailleurs) n’était plus qu’un mauvais souvenir.

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Non pas que Tommy CLUFETOS soit d’une redoutable efficacité, plus impressionnant que jamais et parvenant même à rendre réellement captivant l’exercice pourtant éculé du solo de batterie (ramené par Ozzy dans ses bagages, il est loin le temps où il officiait et faisait ses premières armes aux côtés de Nugent). Non pas que Geezer BUTLER demeure l’un des bassistes les plus efficaces qu’il nous ait été donné d’admirer en plein bucheronnage – ce ne sont plus des doigts qui terminent ses mains, ce sont des bielles au bout d’un vilebrequin à plein régime. Non pas que BLACK SABBATH nous délivre deux véritables heures de total massacre, comme dopé au space-cake amstellodamois, baigné dans un light-show époustouflant à l’image d’une sono irréprochable. Non: la prestation de ce soir est probablement la meilleure qu’il nous ait été donné de vivre car pimentée de trois véritables perles tout juste sorties de leur écrin, l’album come-back de cette année 2013.

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Agissant comme un véritable détonateur, cet album est comme le déclencheur d’une nouvelle jeunesse du SABBATH sur scène qui retrouve sa pêche, sa complicité, son efficacité, son énergie et sa démesure d’antan, couplée à une bande son à la hauteur du casting de l’événement. Avançons un objectif bémol pour les sempiternels grincheux et autres pisse-vinaigre: la voix d’Ozzy demeure sujette à quelques passages disons… délicats (pour ne pas dire carrément douteux) après qu’il lui fallut déjà de longues minutes en début de show afin d’ajuster son organe !

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Mais comment lui tenir rigueur de ces défaillances (de moins en moins) passagères, incapables de déteindre sur le tableau d’ensemble haut-de-gamme et tout simplement massacre ? Et puis, Ozzy reste Ozzy: demande-t-on à Van Gogh d’avoir ses deux oreilles ?! Parole du fiston, 18 ans, à l’issue de son premier SABBATH : "Tous comptes faits, il a une bonne bouille bien gentille et sympa, Ozzy. Il n’a pas l’air effrayant du tout finalement…". La vérité sort de la bouche des enfants, n’est-il pas? D’ailleurs, les trolls géants, c’est dans ce gigantesque Ziggo Dome qu’ils se trouvent ce soir, pas sur scène. Ce n’est malheureusement pas le grand absent de ce soir, Bill Ward, qui nous contredira.

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SIMPLE MINDS – Forest National, Brussels – 23 novembre 2013

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21h03′ : la Sécurité nous emmène, direction front-stage. L’agreement que chaque photographe a préalablement dû signer mentionne les contraintes et conditions habituelles de travail: nous disposons des trois premiers morceaux pour opérer, et bien sûr sans flash, etc., etc. – ritournelle habituelle. Nous ne sommes ce soir "que" sept privilégiés à avoir été accrédités par et pour SIMPLE MINDS. Emmenés donc par une paire de vigiles G4S à travers les sombres couloirs qui courent par-dessous les gradins de Forest, nous déboulons backstage puis enfin frontstage. Arrivés aux côtés puis au devant de la scène quelques instants seulement avant que les lumières de la salle ne fassent place à celles de la scène, la vue de la "cuvette" de Forest confirme le fait que cette salle demeure bien l’une des plus impressionnantes et des plus chaleureuses du circuit européen – opinion du reste strictement personnel.

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D’une taille restée relativement humaine, sans sombrer dans le gigantisme de bien d’autres arènes plus modernes, plus fonctionnelles et bien plus vastes, Forest National conserve cette (toute relative) intimité comme nulle autre pareille de par la configuration de ses gradins : tout en courbes, depuis le toit jusqu’au sol, ils emmitouflent littéralement la scène sans jamais l’étouffer ni en être trop éloignés non plus. Cette architecture confère à la salle bruxelloise l’ambiance presque feutrée d’un club mais à la puissance 1000 ! Combien de bands n’ont-ils d’ailleurs pas profité de leur passage par Bruxelles pour immortaliser cette vue et cette ambiance si particulières, a fortiori lorsque les plus de 8.000 places sont sold-out comme ce soir…?! SIMPLE MINDS a déjà affiché complet la veille à quelques kilomètres seulement, à la Lotto Arena d’Anvers : c’est dire si ce "Greatest Hits+ Live Tour" porte fichtrement bien son nom en fédérant par milliers quadras et quinquas à la recherche du temps passé, nostalgiques de leurs frissons et de leurs émois du début et de la première moitié de ces sacrées eighties…!

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105 minutes durant, SIMPLE MINDS nous assène le best of the best de leurs greatest hits, réussissant bien des fois à faire lever, à faire frapper des mains, à faire chanter et danser tout Forest – oui: absolument tout Forest : impressionnant ! Certes, tout le monde a pris de l’âge et des kilos depuis ces glorieuse eighties, tant sur scène que dans le public, mais les fidèles comparses de Jim Kerr assurent, tout comme lui, à la perfection – sans parler d’une choriste black moulée dans un tailleur pour le moins seyant, et à l’organe tout aussi remarquable que la houppette du Jim. Une rythmique impeccable, des claviers typés eighties tout ce qu’il y a de plus british wave des années ’80 (… presque kitch…), une set-list de tubes confectionnée pour charmer le plus grand nombre, sont ici réunis tous les ingrédients d’une soirée Scottish tout aussi réussie que festive et dansante, aux vertus raffermissantes et rajeunissantes.

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C’est là un exercice néanmoins "facile" pour la machine à tubes qu’est resté l’élixir de jeunesse SIMPLE MINDS, en ne courant du reste pas le risque de s’aventurer hors de ces sentiers battus et rabattus. 8.000 fêtards ont d’ailleurs effectué expressément le déplacement, et sont repartis se coucher quasi rajeunis de 30 ans… C’est-y pas joli et gentil ça, de rendre les gens heureux et tout guillerets en un tournemain ?! Même la sortie de scène de SIMPLE MINDS sur un tonitruant "The Jean Genie" de Bowie lancé à plein volume dans la sono depuis la table de mixage contribue à prolonger cette douce volupté alors que les néons blanchâtres de Forest lentement reprennent le dessus. A (New) Gold Dream… (is over).

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Simple Minds @ Brussels, 1985 @ www.intensities-in-tens-cities.eu (All the World is a Stage – Chap. 1: "The Vintage Years 1978-2011")

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** Soon online – bientôt en ligne ** : Dr FEELGOOD + LIGHTNIN’ BUG @ L’Entrepôt, Arlon

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Sarah BETTENS (K’s CHOICE) – Bastogne, 15 novembre 2013

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"La seule chose en Belgique qui unit les Wallons et les Flamands, c’est le football… et K’s CHOICE !" – voilà qui est dit et bien dit (pour les amateurs de foot et de K’s Choice à tout le moins). Ou comment la Sarah BETTENS accompagnée de son frère Geert se met le public dans la poche sous un déluge d’applaudissements !

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Faut dire que nos quatre jeunes Américains d’A FRAGILE TOMORROW en première partie, débordant de spontanéité et de simplicité, s’étaient déjà fait de la même manière quelques centaines de potes dans l’audience en narrant de manière ô combien humoristique les péripéties de leur arrivée – épique – à Bastogne: leur gps les conduit de fermes en fermes avant de finalement les amener à la salle Jean XXIII enfin ! Sarah BETTENS et son Geert de Bro. les rejoignent le temps d’un morceau, avant de prendre ensuite légitimement possession de la scène pour un set d’une bonne heure vingt – le minimum syndical.

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Pas de "fosse" à l’avant-scène, les Bettens souhaitant pour la circonstance une salle docile et assise – tout comme eux, aussi statiques face à face avec un public désormais caméléon. Soit. C’est vrai que le set n’est pas des plus amplifiés ni des plus remuants, s’assimilant davantage à une (trop) sage prestation bien policée, toute en douceur et presqu’en tendresse. Une efficace incursion dans le répertoire des Black Keys avec une adaptation réussie de leur "Lonely Boy" fournit la touche le plus rock’n’roll (façon de parler) d’une soirée où donc douceur, intimité et ouate sont les mots d’ordre.

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Le papier de verre n’est pas de circonstance ce soir, et ceux qui espèrent du K’s CHOICE davantage amplifié et tonique en restent pour leurs sous et sur leur faim (fin ?). A l’image d’un piano vintage sur scène, que personne n’aura remarqué n’être finalement qu’une coquille vide, un leurre abritant un synthé tout ce qu’il y a de contemporain. Un contraste tout à l’image (et au son) de cette soirée..?!

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Bientôt en ligne – soon online : K’s CHOICE’s Sarah BETTENS – Bastogne, 15 novembre 2013

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MOTORHEAD ♠ SAXON : February – March Tour 2014 : cancelled again

After cancelling twice an european tour a few months ago in 2013, this winter tour 2014 is cancelled again.
Sad but true. God bless Lemmy !

It is with great regret that Motörhead has to announce the cancellation of their European tour, scheduled to start February, 2014. Many concerted, diligent and focused efforts were made by founding member, and international icon, Lemmy Kilmister to deal with a range of health issues relating to diabetes. While there has been undoubted progress, Lemmy and the band were advised by doctors that it was still too soon to resume full touring activities, and so for the good of the future, the band and Lemmy reluctantly agreed to cancel. No-one is hurting more over this than Lemmy, and he feels the aggravation and inconvenience of every ticket, and every method of transportation, already paid for by loyal fans in anticipation of the tour. Being a road warrior of over 50 dedicated, non-stop years, it is equally distressing for him to be unable to occupy the top lounge of the trusty tour bus (his spiritual home) but Lemmy recognizes that his long-term health must win. It goes without saying that Lemmy profusely apologizes for inconveniences caused, but he does want everyone to know that he is continuing on the road to a full recovery, and that the prognosis long-term is very good.January 24, 2014.

MOTORHEAD / SAXON European Autumn Tour 2013 : cancelled

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Après que MOTÖRHEAD ait déjà interrompu rapidement sa tournée d’été, nouvelle annulation de la tournée automne/hiver due aux complications de l’état de santé de notre Lemmy

From the tour management & record cie – for immediate release:

« I have to sadly let you know that Motörhead has had to postpone the forthcoming European tour until early next year, 2014. We have made the decision because I am not quite ready to hit the road yet, and am working my way back to full fitness and rude health. Don’t worry – I’m not about to start promoting veganism and alcohol-free beverages, but it is fair to say that I personally have been reconfiguring areas of my life to make sure I can come back fitter and stronger than ever.

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It disappointed me tremendously to have to say I wasn’t quite ready to hit the road yet, but not nearly as much as it would’ve disappointed me to go out, play some average shows and watch my health give way long before the tour was over! When people come to see a Motörhead tour, they expect a Motörhead show, and that is exactly what you will get as soon as I am fit and ready to rumble.
Your patience and understanding is appreciated…and know that I’m getting stronger and stronger every day, so watch out next spring Europe and we will see you then.
Thank you all,
Lemmy – Oct.30th, 2013 »

Rory GALLAGHER’s Gerry McAVOY’s Band of Friends – Verviers (Spirit of 66) – 23 octobre 2013

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AC-DC qui joue désormais sans Bon Scott est-il un tribute à AC-DC ? Le dernier show de LED ZEPPELIN sans John Bonham était-il dès lors le fait d’un tribute band ? Quand BLACK SABBATH tourne sans Bill Ward, est-ce pour autant un ersatz du Sabbath ? Il en est de même pour le Rory GALLAGHER’s Gerry McAVOY’s Band of Friends : Rory GALLAGHER est de retour sur les planches ici-bas, point barre – et si ce n’est (quand même) pas le cas, c’est tout comme !

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Ses comparses historiques le lui rendent bien durant près de 2 heures époustouflantes de bonne humeur, de complicité et de sueur en veux-tu en voilà. « Mon français est de la merde, my german is scheiße, my English is shit but my Irish is very good ! » : le ton est donné et il en sera de même toute la soirée avec un McAvoy plus excité que jamais. Pour leur part, les quelques Flamands ne doivent pas spécialement apprécier l’imitation gutturale et burlesque (satirique ?) de leur dialecte par McAvoy manifestement en verve et en très, très grande forme ce soir ! Ses clins d’yeux au Marcel pour qui il fait notamment entonner un « Happy Birthday » collectif se couple à d’autres souvenirs partagés d’anecdotes vécues aux côté de Rory. Quand on écoute McAVOY en narrer une remontant à 1973, un frisson nous parcourt l’échine en pensant qu’il y a 40 ans, le fidèle Gerry était déjà sur les planches aux côtés du Patron. Et avec la même Fender Precision Bass désormais vintage qui porte les stigmates de quatre décennies d’outrages et la patte (ou plutôt la griffe) de chacun des albums de Rory.

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Si Ted McKenna à l’impressionnant pedigree est arrivé pour sa part sur le tard à leurs côtés, le sourire comme gravé de naissance que son faciès arbore en permanence amplifie naturellement les éclats de rires et autres signes extérieurs de très, très grand contentement complice qu’expriment McAvoy & Marcel « Rory » Scherpenzeel. Ces trois là nous en foutent plein la g… et il s’en faut de peu de recevoir un coup de manche dans les gencives alors qu’ils jouent au plus près du public comme pour mieux communier avec le Boss et ne faire qu’un en hommage au regretté Rory. "Il" est bel et bien présent parmi nous ce soir, au milieu, au-dessous, devant, derrière, partout… Rory n’aura jamais fait le disque de trop, que du contraire : sans doute le mythe réside-t-il dans cet état de fait. Des pointures pareilles celebrating the music of Rory GALLAGHER qui chaussent aussi large, ça ne se trouve pas chez le premier cordonnier venu : blood and guts, était-ce le concert de l’année au Spirit… ?

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