BLACKFIELD feat. Aviv GEFFEN – Bruxelles, 21 mai 2017

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Excitation et appréhension se la disputent toujours lorsqu’il s’agit de pousser pour la toute première fois la porte d’une salle de concerts encore inconnue. Et tel est à nouveau le cas ce dimanche soir en découvrant La Madeleine, superbe salle (encore) neuve au décor aussi cosi que réussi, et qui peut se targuer en sus d’une acoustique remarquable. A hôte d’exception, Aviv GEFFEN, conditions exceptionnelles…

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Ce n’est pas l’ombre de Steven WILSON qui plane sur La Madeleine ce soir. Ce n’est pas son spectre non plus: c’est carrément BLACKFIELD – ce qui revient du pareil au même, et ce n’est pas peu dire.

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Aviv GEFFEN irradie La Madeleine que quelques dizaines seulement de fin gourmets et connaisseurs avisés ont décidé de rallier en cet estival soir bruxellois. Un service d’ordre et de sécurité rappelle aux distraits que les tristes événements du Musée Juif de Bruxelles ne sont loin ni dans l’espace ni dans le temps, et que la chaude actualité est une cruelle réalité quotidienne pour une communauté venue en nombre – façon de parler – ce dimanche soir.

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Les mélodies parfois mélancoliques de BLACKFIELD sont d’une toute aussi cruelle actualité quand on se remémore la disparition de Chris CORNELL il n’y a que quelques jours seulement. Mais leur puissance – avec pas moins de 4 background vocals – est aussi et surtout un tremplin sur lequel on rebondit pour rejoindre le firmament où nous transportent les compos que Sieur Geffen et Maître Wilson continuent de nous distiller à travers BLACKFIELD.

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Bien malin qui pourrait identifier leurs apports respectifs au sein du side-project de BLACKFIELD, bien malin ou tout simplement grand amateur de PORCUPINE TREE, de BASS COMMUNION, de NO MAN, de STORM CORROSION ou encore de WILSON tout simplement. Reconnaissons néanmoins que le terme "simplement" ne peut manifestement pas s’appliquer à ce génial génie touche-à-tout qui nous ferait presqu’oublier son "absence" ce soir. Ou au contraire, qui nous rappelle son omni-présence ici et là, partout et nulle part à la fois, à travers chaque pore, chaque syllabe, chaque accord de GEFFEN

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Aviv GEFFEN nous avait séduit il y a 2 mois à l‘Ancienne Belgique en opening-act de BIFFY CLYRO, il nous a littéralement scotché ce soir. Presqu’au point de lui pardonner – mais quand même pas totalement – les 75 petites minutes seulement qu’ont duré sa prestation et notre lévitation. On les savait pingres, c’est maintenant chose confirmée (n’oserions-nous pas dire, même au second degré).

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CACTUS – Spirit of 66 @ Verviers – 19 mai 2017

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Il y a encore quelques monstres qui peuplent le rock’n’roll circus ici-bas. Et des mythes, aussi. Le monstre (sacré), c’est Carmine. Le mythe, c’est APPICE. Et il y a aussi des mystères qui restent entiers, comme Carmine APPICE qui traine depuis plus de 20 ans sa dégaine de jeune et fringuant cinquantenaire. Il a l’étoffe d’un r’n’r hero, qu’il assume comme si de rien n’était du haut de ses 71 balais. On n’en (re)fait pas des comme ça depuis des décennies, et il n’y en aura sans doute plus des ainsi jusqu’à perpette…

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Carmine APPICE et CACTUS alias le Led Zeppelin américain: ce n’est pas nous qui l’affirmons, mais l’Histoire qui a nommé ainsi dès la fin des sixties les méfaits à l’actif du band. Et APPICE, c’est encore bien plus que CACTUS, c’est carrément tout un pan de l’histoire du r’n’r à lui tout seul. Il y a des monstres, des mythes et des mystères: Carmine, c’est donc tout ça à la fois et bien plus encore. Vos pas n’ont jamais croisé les siens, quelque part face à une scène in the western world? Sans doute alors certaines notions doivent vous échapper, mais le plus regrettable est qu’il n’est pas possible de faire marche-arrière pour rattraper le temps perdu…

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Chris CORNELL (1964 – 2017) – R.I.P.

Like a Stone
Fin décembre 2015, il y a quasi un an et demi, Lemmy ouvrait la macabre danse d’un bal tout aussi funeste. Depuis lors, combien d’étoiles sombres et plus encore d’étincelantes stars se sont-elles éteintes? Certaines ont tiré leur révérence sans grand fracas dans la pénombre de l’oubli, tandis que d’autres tombaient en plein gloire sous les feux de la rampe.

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Certaines stars ont arrêté de briller après un long couvre-feu, mauvais présage qui ne pouvait que leur être fatal. D’autres étoiles, à l’instar de Chris CORNELL ce 17 mai 2017, ont soudainement cessé de scintiller en pleine tournée, trébuchant à leur firmament et à la stupeur la plus générale. Cette nouvelle incommensurable perte, cette disparition subite et ô combien violente n’en est que plus pénible encore.
SOUNDGARDEN et AUDIOSLAVE, portés par les incomparables vocals de Chris "The Voice" CORNELL, ne sonneront désormais plus jamais du même timbre. Say hello to heaven and have a nice jam overthere, Dude. Have a nice journey to the Black Hole Sun…

Now online : SIMPLE MINDS @ Rockhal – 18 avril 2017

Maintenant en ligne : scottish party @ Rockhal (Esch-sur-Alzette) avec SIMPLE MINDS "Acoustic Tour 2017" et Kt TUNSTALL en première partie…

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SIMPLE MINDS – Rockhal @ Esch, 18 avril 2017

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SIMPLE MINDS n’a rien inventé (depuis 30 ans) si ce n’est constituer des souvenirs pour ceux qui ont vieilli avec, et graver la bande originale des folles nuits de ceux qui étaient dans la fleur de l’âge durant les eighties. New Gold Dream 81, 82, 83, 84 : SIMPLE MINDS ne peut mieux débuter son show ! La bande à Jim KERR est toutefois de ces groupes qui vieillissent comme et avec leur public, mais sans vraiment réussir à renouveler celui-ci ni à le rajeunir.

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Ce n’est ainsi qu’après une heure de concert (assis) que quelques milliers de quinquas daignent enfin lever leur c… pour se trémousser sur Don’t you (Forget about me) puis enfin à se lâcher dans une Rockhal qui ne se rassoira désormais plus jusqu’à l’extinction des feux.

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Il aura donc fallu une heure pour décoincer une assistance frigidement assise alors que, de bout en bout, SIMPLE MINDS enchaîne tubes sur tubes, tous revisités dans le cadre de cet Acoustic Tour 2017 qui n’a finalement d’acoustique que le nom – appellation par bonheur aussi usurpée que trompeuse.

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Et rien que pour ce revival finement toiletté, savamment revisité, délicatement relifté mais puissamment joué, on a tout simplement envie de dire à ces Ecossais qu’ils continent tout bonnement encore à faire longtemps ce qu’ils ont toujours fait: ni plus ni moins une joviale, tonique et décapante cure de jouvence.

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Jim KERR, leader charismatique incontestable qu’il demeure au fil des décennies, reste définitivement maître de la scène, et même maître de cérémonie en allant jusqu’à présenter himself, en ouverture de soirée, la charmante Kt TUNSTALL qui assure une brillante 1ère partie. Scottish party de bout en bout donc, avec un virulent "No Brexit !" lancé par Kerr – ovationné – avant de faire place nette à sa charmante compatriote en avant-soirée.

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Now online : MONSTER TRUCK @ Rockhal – 31 mars 2017

Maintenant en ligne ci-dessous, MONSTER TRUCK (et The PICTUREBOOKS en opening act) @ Rockhal, Esch-sur-Alzette (G.D. Luxembourg)

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MONSTER TRUCK – Rockhal @ Esch, 30 mars 2017

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Ontario power ! Après DANKO JONES il y a deux semaines, au tour de MONSTER TRUCK de revenir faire la nique aux chevelus (et aux dégarnis) du coin. Et quoi de mieux que The PICTUREBOOKS pour assurer leur première partie ?! Cette fenêtre de tir d’une bonne demi-heure hume bon les vastes plaines de l’Ontario et les grands espaces à parcourir au guidon de choppers, chevelures et barbe fournies au vent. Jeans, cuir et chemises de bûcheron en prime, les gars de The PICTUREBOOKS crachent leur blues-rock rêche et incandescent, comme imbibé à la fois de single malt whisky et d’émanations de gaz d’échappement. Délectation de fin gourmet…

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La formule binôme guitare-batterie a déjà fait ses preuves par le passé (The White Stripes, Black Box Revelation,…), mais on semble avoir ici atteint un sommet en la matière. C’est sale et gras à souhait, mêlant l’huile de vidange et les émanations de gazoline dans un garage poussiéreux (où ils enregistrent d’ailleurs "live" à domicile entre choppers et Marshall…). Et ce côté fébrile, énergique et authentique, teinté de sonorités industrielles: top class, top fuel, top energy.

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MONSTER TRUCK prend le relais mais l’affiche de ce soir n’est pas vecteur d’une forte audience, quoique connaisseuse et de très, très grande qualité ainsi que particulièrement féminine, allez savoir pourquoi. Si The PICTUREBOOKS a remarquablement planté le décor et chauffé les esprits, c’est pour lubrifier une piste de dragsters royale à MONSTER TRUCK. On ne le répétera jamais assez: don’t fuck with the Truck

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Le quatuor reste des plus jouissifs avec des vocals gutturales qui amplifient le son saturé d’une crasse lead guitar; le keyboard densifie le tout d’une atmosphère plombée que viennent renforcer d’implacables drums. MONSTER TRUCK rajeunit de main(s) de maître(s) un style vieux de 4 décennies, à moins qu’il ne fait tout simplement que réinventer une époque que les moins de 50 ans etc. etc.

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Cependant, un show expédié en 75 minutes rappel compris (!), ça nous reste quand même un peu en travers de la gorge. Mais comment leur en vouloir quand envoyer la sauce à ce rythme et que l’intensité contrebalancent la quantité? Gaffe quand même les gars: pas deux fois, au risque de perdre de votre crédibilité. Et elle est actuellement tellement top que c’en serait vraiment, vraiment dommage(able). Allez, emballez, c’est pesé, et qu’on ne vous y reprenne plus, garnements…!

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BLACK MIRRORS – 77 – HORISONT @ La Zone, 21 mars 2017

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Nous étions tombés sous le charme de 77 lorsque ces Hispaniques totalement déjantés avaient ouvert pour Michaël Schenker à la Rockhal en novembre 2015. Nous nous étions alors juré de ne pas rater l’opportunité de les revoir lors d’un de leurs prochains passages dans la (grande) région. Dont acte ce soir à La Zone de Liège, une cave tout ce qu’il y a de plus sombre, presque glauque mais surtout très, très rock’n’roll.

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Annoncés pourtant en milieu d’affiche entre BLACK MIRRORS et HORISONT, ce sont finalement les Espagnols qui ouvrent le bal sur une scène bien trop étroite et ô combien trop petite pour contenir toute leur rage boulimique. Quel dommage que de les voir contraints de confiner toute leur explosivité dans une salle trop réduite déjà pour absorber des décibels crachant comme pour un open air…

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BLACKS MIRRORS prend haut-la-main la difficile relève du combo hispanique, poussant le curseur au moins aussi loin et aussi fort pour une démonstration tout aussi convaincante. Sales et mal sapées, leurs compositions revêtent sur scène toute la séduisante négligence qu’on attend d’un garage rock brut et mal dégrossi.

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Leur spontanéité aussi rude que sans fard métamorphose la plus crasse des citrouilles en la princesse la plus affolante: bref, du garage rock aux accents joplinesques, parfois ponctué d’une grâce mélodique soutenue par des rythmes à la Queens Of The Stone Age.

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Black Mirrors se déploie entre évocations chamaniques et images fantasmagoriques. Good job, Boyz and Girl: Napalm Records ne s’est décidément pas trompé en vous signant tout récemment, mes petiots.

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HORISONT assure le haut de l’affiche tout en ne tenant pas vraiment le haut du pavé: la densité et l’intensité de leur performance – ou plutôt de leurs compositions un peu trop tarabiscotées – font pâle figure. A moins que ce ne soit tout simplement la consistance du band qui fasse plutôt défaut ? Une piqûre de rappel nous sera nécessaire pour en connaître le fin mot de l’histoire. To be continued…

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Now online : BLACK MIRRORS + 77 + HORISONT…

… @ La Zone , Liège – 21 mars 2017, avec 77 et HORIZONT :

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Now online : DANKO JONES @ Rockhal, 16 mars 2017…

… avec la surprise du chef en première partie : AUDREY HORNE !

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