TURBONEGRO @ SJOCK Festival – Gierle – 07 juillet 2018

Sjock_Backstage_Pass.JPG
Ceux qui ont finalement préféré s’appeler TURBONEGRO au lieu de Nazipenis ont-ils fait le bon choix? Sans doute, quoique finalement c’est chou vert et vert chou quand on s’est aussi appelé Stierkampf (course de taureaux) le temps d’un seul album. Et à propos de taureaux, ce sont bien des animaux sur scènes. Des bêtes de compétition même, ces Norvégiens. Des bêtes de concours, non peut-être ?!

Turbonegro_Sjock_July2018_0399.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0385.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0395.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0253.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0251.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0242.JPG

TurboNegro-SjockFestival2018.jpg
Une prestation de TURBONEGRO comporte toujours une relative incertitude: on ne sait jamais quand tout va partir en couille, ni qui va partir en vrille le premier. Mais le grand cirque TURBONEGRO est l’arbre qui cache la forêt: à l’inverse de quantité de groupes qui compensent une vacuité musicale totale par un look porteur, TURBONEGRO allie au contraire r’n’r attitude, qualité de leur compositions et une prestation aussi efficace que redoutable.

Turbonegro_Sjock_July2018_0205.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0184.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0128.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0398.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0374.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0366.JPG

TURBONEGRO est un ovni dans le monde du rock’n’roll: furtif et rapide, insaisissable et incompréhensible. Surréaliste et irréel. TURBONEGRO, c’est plaisir pour l’oreille et jouissance pour l’objectif, un régal pour shooteur de clichés et une volupté de fin gourmet pour les tympans. Rock’n’Roll machine, c’est non seulement la dernière perle des Norvégiens, mais c’est carrément tout eux – ni plus ni moins.

Turbonegro_Sjock_July2018_0319.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0310.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0276.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0266.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0261.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0256.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0240.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0237.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0231.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0213.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0222.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0180.JPG

Les Turbojugend sont de sortie au premier rang et mettent autant de bordel dans le public que TURBONEGRO met l’ambiance sur scène. Ni les uns ni les autres n’ont inventé la machine à courber les bananes, mais strictement rien à leur reprocher en matière de pèche.

Turbonegro_Sjock_July2018_0076.JPG TurboNegro_Sjock-Festival-2018.jpg Turbonegro_Sjock_July2018_0064.JPG

Make rock’n’roll great again pourrait être la devise de TURBONEGRO, mais sans doute cela ne serait-il pas assez hot pour ces obsédés de la r’n’r sex-attitude. Mais comment leur tenir rigueur de ces extravagances et de ces dérives en tous genres quand, à côté de cela, ils signent des compositions comme on n’en rencontre pas tous les jours sur scène…?

Turbonegro_Sjock_July2018_0158.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0169.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0148.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0208.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0122.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0102.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0077.JPG Turbonegro_Sjock_July2018_0073.JPG

Hell, not even Jesus could do THAT ! résume à perfection ce que l’on peut penser de TURBONEGRO. La Norvège a pris de l’avance sur le reste du monde en matière de décadence, et l’on ne peut qu’en remercier Nietzsche. Hot for Nietzsche, d’ailleurs.
Turbonegro_Sjock_July2018_0039.JPG TurboNegro_SjockFestival2018.jpg Turbonegro_Sjock_July2018_0032.JPG