Soon online : HOOVERPHONIC – 17 janvier 2015 @ Bastogne

Dans l’attente de la validation de nos clichés par le management d’HOOVERPHONIC – qui se la pète à cet égard de manière manifestement un peu trop prout-prout à notre goût – voici déjà un premier cliché © Intensities in 10s Cities. Il ne devrait pas leur porter préjudice (?!) et ne pas non plus nous traîner devant une juridiction civile, espérons-le. L’explication de cette censure (osons le terme) serait-elle à chercher du côté du sac-à-patates qui fait tristement office non pas d’habit de lumière mais de tenue de scène à la pourtant mignonne et si talentueuse Noémie Wolfs ce soir ??

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Il n’en demeure pas moins que pour la troisième fois en six mois, nous voilà soumis au diktat d’un tour manager plus soucieux dirait-on de l’image de ses protégés que du reste. Un peu comme si un chef étoilé contrôlait les selles d’un inspecteur Gault & Millau avant de l’autoriser à quitter les lieux… Au risque de nous répéter après les épisodes SHAKA PONK et FAUVE# de l’été dernier, quand la prédominance de l’image semble manifestement prévaloir sur le reste, cela peut poser question ou en tous cas semer le trouble dans les esprits. Le fait que le contenant semble revêtir une aussi grande importance (peut) interpelle(r) quant à l’appréciation intrinsèque de son contenu. A fortiori lorsqu’il ne s’agit sauf notre respect "que" de groupes de seconde zone, sans notion péjorative aucune et toutes proportions gardées eu égard aux monstres sacrés et autres bêtes de scène qui jamais – ô grand jamais – ne nous ont imposé la moindre inquisition argentique ou numérique. "Nous sommes Charlie" – comme d’aucuns diraient. En définitive, quelles sont les vraies personnalités qui se cachent derrière ces people si peu sûrs d’eux ou si fragiles au point d’avoir tant peur de l’image que l’on pourrait véhiculer d’eux…?