NASHVILLE ♥ PUSSY live @ Spirit of 66, 14 octobre 2014
Étiquette : Nashville Pussy
Hot, hot, hot ce concert – chaud devant (et derrière aussi…) ! Dernière date sur le Vieux Continent pour Nashville Pussy qui termine à Arlon – dans le cadre de ces premières Aralunaires – sa tournée européenne avant de repartir chauffer ses cow-boys et échauffer les esprits dans leur lointain Texas. Nos quatre garces et lascars prennent manifestement leur pied dans un Entrepôt tout acquis à leur cause. Max d’énergie, max de décibels, max de show, max de provoc: quand le dieu rock’n’roll copule avec la déesse décibels – et nous avons deux déesses de derrière les fagots qui en connaissent un brin en matière de manche à astiquer ! Mais cela ne se limite pas au seul visuel: la lead guitar est tout simplement époustouflante et dévastatrice à souhait, donnant à se rincer tant l’oeil que l’ouïe.
Photos (c) – Use only with mention of www.intensities-in-tens-cities.eu
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On ne fait pas dans la dentelle ni dans le soft ce soir, mais plutôt dans le cuir et dans le hard – au propre comme au figuré. Ce n’est pas Buckingham mais Soho, ce n’est pas Broadway mais le Bronx, ce n’est pas Place Royale mais les Marolles: du vrai, du bon, du chaud, du primaire, du basique, du carré sans compromis ni compromission, vitaminé au Jack Daniel’s et… à l’Orval dont sont tout aussi friands nos Ricains. Du bon, du très bon, et quelle bouffée d’air mes aieux – et je ne parle pas ici de chambres-à-air ni de pipettes bien qu’il y ait matière à. Nom de Dieu: quelle bonne parole le Nuge a-t-il eue un beau soir de Double Live Gonzo à Nashville…!
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Mon premier show au Bota. Nashville Pussy : deux mecs, deux gonzesses, un quatuor sexy, sexe et chaud au possible – au propre comme au figuré – avec un rock bien carré parfois plus proche des Ramones que de Motorhead. Un concert haut en couleur, assurément, dans une salle qui se laisse prendre au jeu du sexe et du rock – avec un nom pareil, le décor est illico planté. Et puis, quand on connaît l’origine de la dénomination du band, ce ne peut-être que du bon (hein, Ted !).