Now online : GRASPOP METAL MEETING 2016

Maintenant en ligne, l’édition 2016 du GRASPOP METAL MEETING avec e.a. BLACK SABBATH

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GRASPOP Metal Meeting 2012 : Ozzy OSBOURNE, SLASH, BLACK LABEL SOCIETY, SLAYER, SABATON, PARADISE LOST,…

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La sidérurgie lourde est encore promise à un bel l’avenir au Plat Pays : si pas à Liège, c’est à Dessel que la phase à chaud continue de démembrer les tympans en une coulée continue incandescente. La grand-messe annuelle des métalleux offre à l’oreille une affiche lourde de chez Arcelor métal, et à l’oeil le spectacle de spécimens en tous genres qui ont hiberné pendant un an. En tous cas, ce n’est pas au zoo qu’on a pu les croiser ces derniers temps, ni au boulot : allez savoir où ils étaient parqués !? Car ce n’est pas seulement la Fête de la Musique ce 22 juin 2012 : c’est carrément halloween tendance Binche et puissance Gremlins.

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Une gigantesque mainstage, deux énormes marquees, un metaldome et d’autres zones & scènes encore occupent le terrain de ce que la presse appelle désormais le plus grand festival de métal d’Europe (sic). Pour ne se concentrer que sur cette première journée du vendredi 22 juin 2012, BLACK SABBATH était annoncé tête d’affiche dès le début de l’année avec son line-up originel. Mais le traitement du cancer de Tony Iommi en a décidé autrement, contraignant le band a annuler toute sa tournée estivale.

Affiche de janvier 2012 : Graspop_2012_Ad.jpg puis de juin 2012 : GMM12webflyer16052012.jpg

En lieu et place du Sabbath, c’est donc notre bouffeur préféré de chauves-souris – OZZY & Friends pour les néophytes – qui tient le haut du pavé pour terminer en beauté (?) cette première journée chaud-boulette et entamer par la même occasion la nuit la plus courte de l’année. 22h59 : avec une minute d’avance sur l’horaire, la machine est lancée et la bête est lâchée. Ozzy déboule sur scène avec ses traditionnels "I can’t fuckin’ hear you" et autres "Are u fuckin’ crazy?". Sacré Ozzy, va, toujours fidèle à lui-même et toujours aussi prévisible. Avec néanmoins un bémol de taille : une mise en jambe assez cata marquée par une voix tout simplement… fausse. Ou deux tons décalés : ouch ! Le temps de se remettre au diapason, le grand dadet est déjà en train de jouer avec ses seaux d’eau (jetés à la volée) et autre lance à incendie déversant généreusement sa mousse sur les premiers rangs. N’étant jamais aussi bien servi que par soi-même, hé hop un coup la tête dans le seau, et hop la lance dans la tronche, et puis je t’en remets une couche en aspergeant de temps à autres le matos backstage…! Il est hilare, le Ozzy.

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Semblant toujours aussi faussement balourd, s’appuyant des deux mains sur le micro fixé à son pied, il sautille Ozzy, il sautille sur place comme s’il avait fait, beuglant à tout-va ses "Louder, louder !" et autres "Fuckin’ crazy !". Ozzy : tout l’inverse du jeune et agile Tommy Clufetos qui abat un boulot d’enfer aux drums là-bas derrière, et qui a bien grandi depuis qu’il a quitté l’ombre du Nuge qui l’a nourri au biberon de sa Byrdland alors qu’il battait à peine…

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Trois fameux guests viennent rehausser de leur présence la seconde partie du show et entourer le band à Ozzy : le brave, fidèle et discret Geezer Butter qui mouline toujours autant sans avoir l’air d’y toucher, le Slash qui se la joue perfecto sans frime et qui assure un max de chez max en alternance avec un Zakk Wylde l’oeil enragé et quasi l’écume à la bouche. Jusqu’au bouquet final qui nous offre pas moins de 3 lead guitars et 2 lead bass entourant Ozzy pour un final tout simplement dantesque mâtiné d’un Paranoid d’anthologie. Le rideau peut tomber, la journée a été parfaite et se termine comme elle a commencé : la phase à chaud de Dessel a tenu toutes ses promesses…

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Plus tôt dans la journée, à 14h40 pour être précis : BLACK LABEL SOCIETY n’est pas le premier band à arpenter la mainstage devant un public qui continue d’arriver par vagues entières. La bande à Zakk nous sert quasi le même set qu’il y a 10 jours au Luxembourg – à peine plus court – en ce compris son solo toujours aussi soporifique mais heureusement (!) moins long cet après-midi. Zakk, arrête tes soli, veux-tu, d’autant plus qu’ils n’apportent rien sinon l’ennui. Les Marshall sont à nouveau en nombre sur scène, mais ni plus ni moins qu’à la Rockhal pour un public pourtant maintenant des dizaines (centaines?) de fois plus nombreux.

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En définitive, B.L.S. nous délivre une prestation tout ce qu’il y a de plus honnête, sans toutefois le petit grain de folie ou le petit-quelque-chose-qui-fait-que et qui, parfois, fait la différence entre un bon concert et un show grandiose. Peut-être le Zakk se réservait-il en fait pour sa prestation du soir tout à fait démoniaque aux côtés d’Ozzy, mais encore fallait-il le savoir…

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Direction les deux gigantesques tentes marquees qui accueillent chacune une belle brochette de sacrés bands tout au long de la journée. Passons rapidement sur le set de SACRED REICH qui n’apporte rien de particulier à l’Histoire de la Musique, pour nous concentrer sur celui de PARADISE LOST: un peu de douceur dans un monde de brutes. Les enfants de choeur de la journée paraissent doux comme des agneaux au milieu de cette affiche de charognes, et feraient même passer Elmut Loti pour un méchant cogneur. Un concert propre et bien construit, à l’instar de leurs compositions savamment léchées avec cette petite pointe de doom qui chatouille juste là où il faut. Chouette set, les gars.

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Si les warriors de SABATON peuvent prêter à sourir en jouant aux faux méchants avec leurs effets pyrotechniques à la Rammstein, ils décrochent néanmoins le prix de la sympathie et de la simplicité. Le chanteur avouant même avoir été vachement nervous avant de monter sur scène ne rend ces Suédois que plus sympathiques encore et attachants, finalement. Offrant ses lunettes de soleil bien utiles à un gamin de 12 ans au premier rang, il ne peut par ailleurs s’empêcher de marquer son incompréhension face à l’absence de bouchons dans ses oreilles encore chétives et si fragiles. Bien, ces Swedish, bien…,

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Tout l’inverse de SLAYER, en définitive. Eux, ce sont des vrais : on ne sourit pas sur scène, Môsieur, on joue. On se la joue. Le regard noir et le rictus méchant aux lèvres, SLAYER est une machinerie de gravos. Les barbes aussi impressionnantes que les tatoos les situent aux antipodes d’un boys band de tapettes – et il ne s’agit pas que de la musique. Lourd et rapide, SLAYER assume grave et déchire un nouveau trou du c… au monde. C’est ce qu’ils font de mieux, parait-il, depuis des lustres – sans doute la raison pour laquelle le monde tourne si carré.

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Flashback sur la mainstage pour la prestation de SLASH en fin d’après-midi. Loin de ses frasques G’n’R, aux antipodes du barnum qu’était devenu la bande à Axl Rose, SLASH est devenu un grand, grand Monsieur bien sage et rangé tout comme il faut. Propret même, le loup s’est transformé en agneau – à moins qu’il ne s’agisse que d’un simple déguisement pour mieux nous faire tomber dans le panneau et nous prendre à contre-pied ? Son talent et son brio n’en sont que plus éclatants : son jeu explose à la figure et iradie une plaine noire de monde. C’est assurément LE show de la journée, avec la perle de métal pour un des (LE ?) moments forts de ce vendredi lorsqu’il enflamme l’immensité avec un exceptionnel "Paradise City" en guise d’au revoir. Featuring Myles KENNEDY aux vocals entouré de ses Conspirators, SLASH nous offre en définitive le set de la journée. Assurément…

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(Autres photos et reviews de Ozzy, de Black Label Society, de Slayer, de Paradise Lost et d’un précédent Graspop sur All the World is a Stage – Chap.1 :The Vintage Years 1978-2011)

BLACK LABEL SOCIETY – 11 juin 2012 – Rockhal de Esch-sur-Alzette (G.D. Lux)

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80 minutes de concert, sans même rappel (!), ce n’est pas banal – et c’est heureux. Franchement chiche, le Jeffrey Phillip Wielandt (alias Zakk WYLDE), voire même carrément radin. Ce n’est pourtant pas faute de nous en mettre plein les mirettes et plein les oreilles : pas moins de 20 amplis Marshall aux lampes scintillantes tapissent la scène de part et d’autres des drums, posés sur autant d’enceinte estampillées (feu) Sir Marshall, sans compter les 4 modules disposés devant le podium de la batterie ! Y a pas à dire mais point de vue tableau, ça en jette un max dans le club de la Rockhal. Pareil ravissement ne m’avait pas été offert depuis longtemps. Et pour compléter le tableau, trois impressionnants barbus et chevelus déboulent sur scène à 21h37, dont le moindre n’est pas le Zakk himself. Qu’il est loin le temps où ce freluquet d’à peine 20 ans officiait discrètement dans l’ombre d’Ozzy Osbourne lorsque je découvris son jeu de guitare déjà cataclysmique un beau soir de 1989 à Forest National ! Le petit Zakari Wyland est depuis devenu l’impressionnant Zakk WYLDE, et la métamorphose est tout bonnement effrayante tant en regard de son jeu, de son style que de son look à la carrure de bûcheron canadien. Rehaussé de sa coiffe indienne à la Nuge durant les deux premiers morceaux, son faciès n’en est que plus impressionnant encore, avec sa chevelure aussi longue que sa barbe rasta tombant jusqu’au nombril.

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Passant de la guitare au synthé (!), sa voix est énorme, sauvage et agressive pour parfois devenir mélancolique. Zachary est un musicien, compositeur, interprète, multi-instrumentaliste et improvisateur de talent. Néanmoins, le long solo qu’il nous assène (dont il nous assomme, plutôt), aussi soporifique que superflu – voire même franchement nul et inutile – est à la charnière d’un trop court set dont l’intensité et la densité de la seconde moitié sont un cran en-dessous d’une première demi-heure explosive. BLS reste le Zakk Wylde Band tant ses trois comparses ne sont que de simples faire-valoir, avec toutefois une mention particulière pour le bassiste dont le jeu est cependant écrasé par le rouleau compresseur des deux guitares et de la batterie. 80 minutes après le baisser du rideau (à l’effigie du BLS bien évidemment), le tsunami prend fin. Soulagement pour les tympans fragiles, mais déception pour le portefeuille : la minute d’over-décibel devient décidément de plus en plus onéreuse avec certains groupes, faudrait revoir ça les gars…

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AC ANGRY assurait préalablement la première partie, en envoyant la sauce en hors d’oeuvre qui convenait parfaitement au plat consistant et de résistance qui s’en suivait. Carré et brut de brut. Les barbus (et/ou chevelus) en nombre ce soir dans la Rockhal ne s’y sont pas trompés – et les dégarnis et les rasés de près non plus d’ailleurs.

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(Autres reviews de Black Label Society @ Intensities in Tens Cities – All the World is a Stage, Chap.1 :
The Vintage Years 1978-2011).

BLACK LABEL SOCIETY – 16 juin 2011 – Luxbg

Message arrivé ce matin dans ma boite email :

Tonight’s ZAKK WYLDE & BLACK LABEL SOCIETY show cancelled ! »
Dear Punters,
Very sorry to let you know that tonight’s show is cancelled !
The artist’s management has indeed informed us that Zakk has lost his voice and is unable to perform. The shows in Den Haag yesterday and tonight’s show at the Atelier have been cancelled as he being treated.
We are waiting on further information whether there will be a replacement date or if tickets will be refunded. We’ll get back to you asap, pls stay tuned on www.atelier.lu
Very sorry indeed for any inconvenience and we wish Zakk a good recovery !
The A-Team »

Tout est dit… 🙁

FIELDS of ROCK – Juin 07 – Biddinghuizen (Holl.)

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La voiture bien remplie – surtout le coffre – nous partons pour un weekend bien rock’n’rollesque chez nos amis les Kaas, à l’occasion d’un festival à l’affiche de toute beauté. Enfin, façon de parler s’il est question d’esthétique au sens propre du terme, mais voyez plutôt:

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Arrivés samedi tout début d’aprèm pour la prestation de PAPA ROACH, nous enchaînons avec FASTWAY (le band de Fast Eddie Clarck, guitariste originel de Motorhead – photos plus bas) puis DUBLIN DEATH PATROL. Le site est grand, vaste et aéré. On se surprend même à reconnaître l’une ou l’autre tête croisée lors de l’édition d’il y a 2 ans – en l’occurrence un monstre de passé deux mètres de haut et autant de large, qui nous avait déjà impressionnés à l’époque : quand on dit que le monde est petit – façon de parler toujours, et a fortiori chez les Nolus.
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Le premier gros morceau de la journée s’annonce sur la main stage : HEAVEN & HELL, ou Black Sabbath sans Ozzy, époque Ronnie James Dio, avec donc notre lutin préféré aux vocals qui revisite avec ces compères les trois albums durant lesquels il fut membre à part entière du Sabbath. Grand moment, grand concert, prestation de toute beauté – le couple Tonny / Ronnie jouant la paire à merveille : quelle intensité, quelle classe, quelle complicité, quelle rythmique. Et quelle voix ! Vinny Appice aux drums se remémore-t-il comme moi le duel d’anthologie avec son frère Carmine au Spirit of 66 il y a quelques temps…?

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SLAYER nous en met ensuite plein la vue – ou plutôt plein les oreilles : impressionnant certes, même si pas vraiment ma tasse de thé. Les deux autres scènes continuent de produire pas mal de décibels également, et c’est avec IRON MAIDEN sur la main stage que se clôture cette première journée. Je n’ai jamais vu le Maiden sur scène ni jamais vraiment réellement apprécié leur production, même du temps de leur grandeur et de leur splendeur. Il n’empêche que les voir enchaîner live leurs classiques ne me laisse pas indifférent. A une nuance près : leur accoutrement, leurs fringues, leurs mimiques, leur attitude, leur jeu de scène n’a pas évolué d’un iota depuis les années ’80 me semble-t-il ! Quelque peu folklorique dès lors, voire plutôt pathétique ou même triste dans une certaine mesure. Back to the future, les gars, back to the future !

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Nous rejoignons notre hôtel distant d’une vingtaine de kilomètres pour y passer une nuit réparatrice après y avoir fermé le bar en prévision d’une seconde journée haute en couleurs. Ma première claque de la journée s’appelle BLACK LABEL SOCIETY que je découvre avec un Zakk Wilde qui me laisse tout bonnement sur mon cul : superbe surprise pour cette mise en jambe à l’heure de l’apéro, superbe ! (photo 1 plus bas). MEGADETH me laisse tout à fait indifférent ou presque, le temps d’aller jeter un œil sur les autres scènes à l’affiche tout aussi insipide pour moi à cette heure de la journée (photo 2). Heureusement que MOTORHEAD amène par la suite sur la main stage ce souffle salvateur, cette rage et cette fraîcheur propres à Lemmy et comparable à nul autre: aaaaargh… (photos 3 à 8).

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KORN m’impressionne ensuite, même si le concert me semble longuet et répétitif après un certain temps (v. photos 1 et 2 plus bas). L’occasion d’aller voir SUICIDAL TENDENCIES sur la petite scène qui me surprend agréablement, particulièrement lorsque le public envahit la scène sur la fin du concert, n’empêchant en rien nos lascars de continuer leur prestation entouré de dizaines et de dizaines de fans. Un tout grand moment encore ! (v. photo 3 plus bas) DREAM THEATER me laisse – comme d’habitude et comme prévu – sur ma faim (fin ?), ne trouvant là aucune âme, aucune passion, aucun feeling dans un jeu avant tout technique et dépourvu pour moi de toute sensibilité : de la technique pure et froide, de superbes techniciens certes, mais sans une once d’attitude. C’est vide, c’est creux, c’est triste, c’est mort. On se replie dès lors sur HATEBREED qui est un grand, grand, tout grand moment : à vivre live et exclusivement live car, vraiment, il faut le voir et l’entendre pour le croire, et il faut en être pour comprendre…! Cela nous change manifestement de l’insipide, inodore et incolore VELVET REVOLVER qui occupait la main stage auparavant tandis que tout le monde se taillait aux buvettes, aux aubettes ou à la toilette – et pas uniquement pour la rime (photo 4).

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OZZY nous réserve une clôture de festival digne de ce nom, avec la deuxième prestation de la journée pour Zakk Wilde. Après Black Sabbath sans Ozzy mais avec Ronnie James, voici Ozzy sans Tonny mais avec Zakk : la boucle est bouclée. Ce n’est pas ce soir la prestation la plus mémorable d’Ozzy, même s’il reste une incontestable bête de scène.

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Le weekend se termine en beauté : les bouchons (ear plugs) nous ont bien servis. Les tickets boissons également…