An Orange Car Crashed + Off Track + Sarah Tue Moi + Les R’tardataires @ Centre Culturel de Bastogne, 19 sept 2015

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Avec leurs compositions sombres aux lyrics aussi noires que les clairs-obscurs et autres contre-jours de leur light show, ça fait belle lurette que nous avons renoncé à shooter avec succès AN ORANGE CAR CRASHED live on stage: c’est peine perdue en travaillant sans artifice… On les aime pourtant bien les gars de AOCC et combien pouvons-nous apprécier leurs shows, mais non – décidément non – leur tirer le portrait en concert sans tripatouiller les clichés est une véritable gageure (‘font ch**r !). On les préfère donc à la lumière naturelle de leurs soundchecks, on voit au moins ce qu’on entend ainsi que disait le pire sourd…

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C’est comme qui dirait un peu de Limoges en Ardenne avec la prestation de OFF TRACK. Des relents de Ramones, un zeste de Motörhead, un soupçon des Pixies et l’affaire est faite, rondement menée :

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Clair, propre, carré et rentre-dedans: le set des Français s’apparente à une salve de torpilles qui décoiffent les chauves et ravalent les tympans en profondeur, oreilles bien dégagées quoi. Perfecto, les p’tits Fransquillons: vous avez gagné votre ticket retour (non pas chez vous mais retour en terres ardennaises quand vous voulez).

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SARAH TUE MOI continue de jouer son Noir Désir et, malgré quelques problèmes techniques, nous laisse une impression ma foi des plus positives. Ces grands garçons jouent-ils néanmoins les timides ou est-ce une manière de se mettre le public dans la poche en adoptant comme qui dirait la Calimero attitude entre deux morceaux ?

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Allez les gars, affirmez-vous: votre répertoire et vos tripes le méritent amplement. Et si une thérapie (de groupe) vous semble la solution pour gagner un peu en confiance, faites appel à l’équipe…

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Les R’TARDATAIRES ne sont pas vraiment notre tasse de thé, mais il faut leur reconnaître un talent certain. Et même un certain talent pour jouer les ouvreurs non pas de cannettes mais de début de soirée, avec pour difficile tâche de chauffer un public encore clairsemé. Mission ardue mais réussie tant pour eux que pour le Centre Culturel de Bastogne qui s’en tire en définitive avec une mention "Très Bien": une bien belle affiche et une manifeste réussite pour ouvrir cette saison 2015-2016.

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Donkey Rock Festival 2015 : An ORANGE CAR Crashed – The CARROLLS – TAGADA JONES – SIDILARSEN

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DONKEY ROCK FESTIVAL, 10ème ! Ou quand un village d’irréductibles bénévoles se la joue Woodstock depuis 10 ans par la grâce, la magie et le charisme de ses joyeux doux-dingues (ou fous-furieux) organisateurs. Sélange ? C’est le bled au festival où les têtes d’affiche de ce vendredi 07 août 2015 te font la bise backstage pour te saluer alors que t’es uniquement là pour prendre mine de rien quelques clichés, incognito. Ca donne franco le ton: on fait couleurs locales sans s’prendre la tête ni l’bourrichon ici au Donkey, on est en famille, entre potes.

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A l’affiche du premier des trois jours de cette édition 2015, quatre groupes dont la trajectoire se confond presqu’avec la jeune histoire du festival : les Français de SIDILARSEN et ceux de TAGADA JONES, ainsi que les locaux d’AN ORANGE CAR CRASHED (AOCC) et les brusseleers de CRIBLESS. Ajoutons en ouverture de festival quatre jeunes du cru arlonais/néo-louvanistes (The CARROLLS) et la messe est dite. Si les garnements de CARROLLS à la coiffe indienne ne font pas dans la dentelle ni ne se prennent surtout pas au sérieux niveau lyrics (on est étudiants LUX ou on ne l’est pas…), AOCC continue au contraire d’utiliser la scène pour distiller sa propagande musicale à tout crin contre l’industrie du disque, contre les majors, etc. Si An Orange Car Crashed est une arme de destruction massive et vomit sur tout le système, la richesse de son approche musicale compense largement pour qui n’adhère pas au discours, ou pour qui ne vient tout simplement pas ici pour se prendre la tête…

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Donkey, 10 ans d’existence, TAGADA JONES: 20 années. Deux décennies de conscience sociale, d’engagement politique et d’indépendance. Avec leur chant enragé et engagé, avec leurs textes militants, les thèmes de TAGADA JONES restent graves, la vision terriblement lucide, et l’ensemble brosse un portait plutôt sombre de la société actuelle (dixit le programme).

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Et de continuer: "entre conscience sociopolitique affûtée et virulence sonore, porté par des refrains fédérateurs et des guitares mordantes, TAGADA JONES demeure plus violent, plus revendicateur, plus pertinent et plus incisif que jamais ".

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Et que dire des Bretons côté backstage… TAGADA JONES est à l’image d’une fratrie faisant montre d’une complicité fusionnelle au moment de franchir le rideau noir qui les sépare de la scène. Puis toi, t’es là incognito pour tirer quelques clichés, et ils t’entraînent parmi eux au milieu de leurs effusions comme si tu pouvais apporter plus d’énergie encore à ce volcan en ébullition. Le temps d’un instant, tu es TAGADA JONES. Fort. Puissant…

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Dans le stress ou plutôt dans l’excitation du moment, celui de passer de la pénombre à la lumière, ils s’épaulent, s’accoladent, trinquent, fument, s’émulationnent, se congratulent, se frictionnent… Mental & physical training d’un escadron en passe de livrer un nouveau combat victorieux.

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SIDILARSEN: rock, métal ou electro? Il y a un peu plus, je vous l’ mets? Le Donkey annonce une orgie de son et de sens dans ta face, et de fait: après les textes et l’énergie brut de décoffrage d’OACC et de TAGADA JONES, les Toulousains continuent de fournir au Donkey une caisse de résonance sans nulle pareille. Le message est amplifié – au propre comme au figuré – par une sono qui porte ce soir le message bien au-delà des frontières communales.

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SIDILARSEN est à TAGADA JONES ce que les amphétamines sont à l’acide, ce que le Lolo est au Bots, ce que le souffre est au salpêtre et ce que la menthe est au rhum: bien conjugués et bien dosés, c’est une bombe. Effets dévastateurs d’une salvatrice et rédemptrice tuerie…

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DONKEY ROCK Winter Edition – 04 janvier 2014, Sélange (… Rock City)

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"Quand la Belgique aura compris que les frontières de la Wallonie ne s’arrêtent pas à Namur mais descendent un peu plus bas, ce groupe-là fera partie des meilleurs groupes belges de tous les temps": une bien rude vérité assénée dans la sono par Lolorganisateur au moment de saluer la prestation de la tête d’affiche de la soirée, AN ORANGE CAR CRASHED. Peu de temps auparavant, cette 1ère winter edition du Donkey Rock Festival commence fort, très fort avec nos petits chouchous et nos préférés : The WAY DAYS.

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TheWayDays_04012014_0127.JPG Malgré un bassiste de remplacement qui joue les intérimaires de choc ("de chez Trace" – sic), le quatuor ouvre la danse avec un set des plus énergiques agrémenté de nouvelles compos 2013 et de désormais classiques – façon de parler. Une fraicheur vintage et une sympathie sur scène à l’image de la spontanéité de leur production pourtant old timer : voilà du pur garage rock, primaire et brut de décoffrage comme surgi du passé, avec des rengaines qui tombent facilement dans l’oreille, marque de fabrique qui ne se dément pas au fur et à mesure de leur petit bonhomme de chemin.

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It’s a long way to the top if you wanna rock’n’roll : certains comme The WAY DAYS sont déjà (quasi) au top, mais reste à en convaincre le reste du monde (et si pour les décideurs de Bruxelles la Wallonie ne s’arrêtait pas à Namur, etc. etc.). Dommage que le Laney crachait le gras de ses basses vers le backstage parce que là-derrière, mes aïeux, quel groove vous avez raté… !!

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Si nul n’est (pas toujours) prophète en son pays, que dire alors d’AN ORANGE CAR CRASHED ?! Leur prestation de ce soir est la plus percutante à laquelle il nous ait été donné d’assister. Servi par une sono et un light-show à la hauteur des talents sur scène, le panache est en plus au menu pour décupler avec brio une certaine idéologie par ailleurs pas déplaisante pour un sou. Avec le Fils du Père à la lead guitar, ne manque que la descente du Saint-Esprit pour que la Trinité rayonne sur Sélange ! Le grand art est la marque de fabrique des Pemmers, et le show leur ADN – jusqu’à qu’à ce qu’autopsie post-mortem s’en suivre, Herr Doktor.

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Attaquer une six cordes à la visseuse en fin de set est par ailleurs excellent pour le conduit auditif et pour le show – un peu moins sans doute pour le matos. L’excentricité et la puissance de cette démonstration de force met une fois encore en scène tout le talent et toute la géniale créativité du groupe dans un genre coldwave aussi particulier que son registre shugase hors-normes.

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Les locaux de MAX MALLONE clôturent la partie « concerts » de cette soirée, manière de faire retomber la pression et augmenter le débit de celle du bar. Mention particulière également en regard de la la prestation des Bruxellois de ORGANIC. Cependant, coincés entre le marteau (The WAY DAYS) et l’enclume (AN ORANGE CAR CRASHED), pas facile pour eux de tirer les marrons du feu. Sélange, rock city : son Donkey Rock Festival (summer & maintenant winter editions), ses géniaux organisateurs, ses bénévoles d’enfer, son ambiance de Dieu le Père, sa chaleur et sa sympathie légendaires. Décidément, il est des coins où il fait bon vivre le r’n’r ici-bas, très bas en Lorraine, bien loin de Namur et de Bruxelles…

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WARD’IN ROCK Festival : SKIP THE USE, BLACK BOX REVELATION,… – 31 août & 1er septembre 2012 –

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Deux des quatre têtes d’affiche tiennent toutes leurs promesses – pour peu qu’ils en aient faites : SKIP THE USE (vendredi) et BLACK BOX REVELATION (samedi), quelque peu perdus au milieu d’une gentillette affiche bien électrop-pop qui passe en comparaison pour de la roupille de sansonnet. Car c’est un puissant capharnaüm bien bordélique que déclenche SKIP THE USE pour leur seconde venue au Ward’in. Tout auréolés de leur triomphe aux Victoires de la Musique en France et justifiant pleinement leur titre de "Groupe – Révélation Scène", ils incendient un chapiteau en érection qui n’attend d’ailleurs que ça, comme une Durex prête à exploser. A quand donc les Lillois sur la mainstage qu’on semble leur refuser pour la seconde fois ? Sans doute manière de ne pas faire d’ombre aux autres têtes d’affiche du festival, for sure…

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Même s’il ne reste que peu de leur pourtant récente punkitude, ce sont de beaux restes. SKIP THE USE hypnotise un public chaud-boulette qui lui obéit aux doigts et aux yeux, telle la bête Motörhead arborée sur un t-shirt du meilleur effet pour déclencher l’hystérie à coup de vumètres et l’entretenir à coup de disto. Telles les injonctions d’un grand-prêtre satanique, le public obéit, se soumet puis se prosterne devant le quintet en s’asseyant comme un seul homme (même s’ils sont des centaines, que dis-je? des milliers) sur l’herbe maculée avant d’exploser de plus belle. Le public est une bombe ce soir, et SKIP THE USE en est le détonateur.

Même endroit, même heure le lendemain samedi : mission 100% accomplie pour BLACK BOX REVELATION (RevOLUtion, même !) et plutôt deux fois qu’une avec une formule toujours aussi basique de chez basique mais ô combien efficace et tueuse, diantre. Ou comment décoiffer à la manière d’un trio quand on n’est que deux.

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D’ailleurs, la question de l’utilité d’une basse dans un trio ne se pose-t-elle pas face à ce cas de figure qui illustre le fait qu’on peut faire à deux autant de ravage qu’à trois ? Le flamish power, la solution finale à la sauce flamoutch ! Leur reste néanmoins à apprendre peut-être à communiquer un tantinet avec leur public, tant qu’à faire ça ne mange pas de pain pour ces bouffeurs de patates. Pour votre troisième venue au Ward’in, c’est la mainstage que vous méritez, les gars, y a pas à ch… mais pour autant que vous puissiez une fois nous dire un mot entre deux détonations. A look @ http://www.youtube.com/watch?v=vATzLF-vbsc

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"Bonsoir Wardinne ! " : telle est la manière d’entrer ou de quitter la scène, même en plein après-midi, à Wardinne. Pardon : à Wardin (ou au Ward’in Rock, c’est kif-kif, comme dirait le bourriquot). Parmi ce florilège subjectif et partisan d’une vingtaine de concerts commencés dans la froidure d’un vendredi bien ardennais, les (presque) locaux de AN ORANGE CAR CRASHED débutent fort en dédiant un morceau aux "Pussy Riot", scandant un virulent "Poutine, dégage!‘ repris en choeur par un public encore clairsemé. La pluie a rendu la plaine boueuse, mais ce n’est que pour mieux glisser, mon enfant, sur cette belle et chaude prestation d’AOCC. Leurs inconditionnels sont aux premiers rangs pour faire monter la pression, et il ne s’agit pas que des BBBofferding c’est sûr. Bien les gars, bien… Allez, on prend la pause en baissant la tête pour les photos maintenant.

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L’électro de SEXTEEN CHAPEL (qui se donne des airs de Human League) puis celle de NAIVE NEW BEATERS prend la relève à coups de synthé sortis tantôt tout droit des eighties, tantôt d’un espace-temps ou d’une quatrième dimension bien up-to-date qui atteindra son paroxysme avec The SUBS parmis d’autres douceurs plus suaves, sirupeuses et/ou plus pop. Comme pour mieux contredire les quatre lettres r-o-c-k qui sont au coeur du "Ward’in Rock Festival"…

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L’extra-terreste Cédric GERVY débarque, et sur la mainstage s’il vous plait cette année ! Toujours aussi décalé, déjanté et fouteur d’ambiance, mais comment fait-il donc pour coller toujours d’aussi près à l’actualité qu’il revisite d’une plume acerbe et caustique, toujours aussi impertinente et hilarante ? Dommage, Gamin, que tu gâches tout avec ta prise de position à la noix contre les clarisses de Malonne, fruit d’une démagogie déplacée et inutile et d’un poujadisme de bas étage qui n’a pas sa place ici. Là, tu ne l’as pas jouée très fine, fieu.

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INIMIKALL, pure fucking metal (sic), prend le relais dans le marquee pour faire trembler le sismographe d’Uccle à défaut d’en disposer d’un sur place. Brut de décoffrage, leur heavy a l’avantage de frapper aussi fort qu’un soleil complice qui commence à échauffer les esprit, mais ô combien surtout les corps : du moshing à Wardinne, n’est-ce pas une première avec ce viril "wall of death" ?!

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The EXPERIMENTAL TROPIC BLUES BAND poursuit cette montée en ébullition du marquee. Pour le moins turbulent, le trio sème ses guitares sur la scène comme d’autres y jettent un bon mollard bien gutural. Autant cependant éviter d’y mettre le pied sous peine de mauvaise surprise.

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La découverte de ce 16ème Wardinne n’a de blues et de tropical que le nom, semblant plutôt jouer à eux trois leur Révolution Black Box sauce liégeoise. L’effet irradiant est le même sur les midinettes locales qui, invitées, finissent par envahir en pagaille la scène pour un final à la Iggy Pop dans un joyeux melting pot assaisonné de larsens et autres déchirures acoustiques…

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ORFEO, PERCUBABA,… ainsi que 300 bénévoles et un staff de Dieu le Père ont fait de ce Ward’in 2012 ce que les suivants seront, à l’image de ce que les précédents ont été : le plus high de Belgique. De quoi retomber donc bien bas l’effet Wardinne terminé. Les groupes électrogènes vont souffler jusque l’année prochaine – et quand il y a de l’électrogène, y a pas de plaisir. Non peut-être ?!

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(Autres photos & reviews de précédents Ward’in Rock au chapitre 1 de Intensities in Tens Cities – All the World is a Stage, The Vintages Years 1978-2011 @ http://www.intensities-in-tens-cities.eu )