ACCEPT sans Udo, c’est un peu comme AC-DC sans Bon Scott dirons certains – dont nous étions. Mais il y a aussi un peu de Rudolf Schenker en la cheville ouvrière de Wolf Hoffmann, et ça ne se limite pas qu’aux grattes. Au final, du flamboyant à l’affiche et pas que du décibel, et un bain de jouvence aussi bénéfique aux oreilles qu’aux mirettes. Now online, et comme toujours dans notre GALERIE DE PORTRAITS depuis belle lurette…