Quatre jours plus tard, d’une capitale (belge) à une autre (luxembourgeoise) : le Quo à la patinoire grand-ducale, ou comment faire fondre la glace avec trois accords seulement. Car ils y réussissent, les bougres ! C’est vrai que depuis le temps qu’ils les manient, leurs trois accords, ils savent comment s’y prendre pour les faire vibrer au bon endroit au bon moment avec les bonnes personnes. Bref : à quoi ressemble plus un concert de Status Quo qu’un autre concert de Status Quo?A un concert de Status Quo bien évidemment ! Pas de surprise donc – ni bonne ni mauvaise, juste une soirée prévisible à souhait et un set téléphoné qui n’enlève rien, strictement rien à la qualité de celui-ci…
Étiquette : Status Quo
Whatever You Want – Forest National répond : 8000 chevelus (et combien de pellicules…?) se dandinent au rythme des riffs téléphonés de nos Anglais de service. Rien d’original, rien de neuf non plus sous le soleil : c’est ce qu’on appelle un statu quo. Mais que c’est finalement plaisant à l’oreille, et les moins férus se surprennent à se laisser aller, à se prendre au jeu et rejoignent les plus accros pour finalement communier de concert avec ceux dont je suis et qui ont fait le pied de grue devant les portes vitrées de Forest pour être aux premières loges. Status Quo 1960, 1970, 1980, 1990, 2000, etc. : une valeur sûre. Tellement sûre qu’ils portent à merveille leur nom. WAYSTED en guest : si c’est écrit sur le ticket…