Antilliaanse Feesten – 11 août 2000 – Hoogstraeten

Antilliaanse_Feesten_2000
Plus ça change, plus c’est la même chose – the more things change, the more they stay the same. Hoogstraeten reste bien le plus chaud weekend estival, musical et cocktails – pour la rime – sur le Vieux Continent. Concentration comme ce n’est Dieu pas possible des merveilles (musicales et autres) des 5 continents – mais surtout des Tropiques. Les scènes se remplissent et se vident au fur et à mesure de l’affiche. Car oui, il doit bien y avoir une affiche entre deux bars à cocktails, un barbecue, deux tentes, une tonnelle et une fosse à lisier (où d’aucuns ont la merveilleuse idée de s’y plonger en guise de bain de minuit …).

Antilliaanse Feesten – 14 août 1999 – Hoogstraeten

Antilliaanse_Feesten_1999
Un copier-coller des éditions précédentes – qu’est ce qui ressemble plus à un festival de musique antillaise qu’un festival de musique antillaise ? A fortiori lorsqu’il se passe au même endroit, avec la même carte de cocktails, avec sensiblement les mêmes festivaliers que l’on recroise d’année en année, avec le même menu au barbecue, sous les mêmes tentes, avec les mêmes tonnelles. Avec les mêmes effets – primaires et secondaires. Il n’y a rien à dire, mais la musique des Tropiques vous réchauffe autant les cœurs que les corps qu’elle vous rafraîchit les idées par après…

Antilliaanse Feesten – 15 août 1998 – Hoogstraeten

Antilliaanse_Feesten_1998
Nouvelle descente à la frontière hollandaise – au propre comme au figuré ! Trois jours et deux nuits de cocktails, de barbecue, de ripaille, de musique et de franche rigolade… Pour ce qui est de la musique, des groupes et du reste, suite au prochain épisode !

Antilliaanse Feesten – 10 août 1997 – Hoogstraeten

Antillaanse_Feesten_1997
3 jours et 2 nuits de musique antillaise au Caribbean Festival (carabine festival ?!) d’Hoogstraeten. Tentes montées, barbecues installés, frigos bourrés : trois jours de canicule, de festival et de camping au son de cette musique teintée de soleil mais surtout de cocktails et de ripaille (…pour la rime uniquement). A ma connaissance, le seul festival où les bars à cocktails sont bien plus nombreux que les bars à bières. Le seul festival belge où les visages pâles sont en minorité. Proximité, promiscuité, promis cuité… Le seul festival où aucun(e) de nous n’a souvenance du nom du moindre des artistes présents – c’est vrai qu’il s’agit de nom peu familiers, dirons-nous, pour les rockers que nous sommes. Bref, trois jours de bonheur et de saine (?) fatigue au sein du plus grand festival européen de musique antillaise.