Même endroit, même heure, mais un jour plus tard : The CURE. Nous sommes en pleines eighties, glorieuse époque pour toute cette vague british déferlant sur l’Europe avec cette musique et ce look si particuliers qui, rétrospectivement, ringardisent d’autant plus les choses avec le temps qui passe. Je me laisse prendre au jeu du moment et suis le mouvement : en avant pour Forest National où je ferais bien de planter ma tente à ce rythme. Que me reste-t-il de ce concert ? Ben… pour être franc, pas grand chose en termes de souvenirs. Pas grand chose non plus en termes d’images, d’ambiances ni d’anecdotes. Ah ! si : il me reste le ticket…