Soon online et déjà dans notre GALERY de portraits Intensities in 10s Cities:From Backstage to Frontstage, All The World Is A Stage. Et, as usual, pas de chipotage ni de bidouillage avec les photos comme vous en voyez partout ailleurs. Non: ici, c’est NO f*cking Photoshop. NO damn Ligthroom. NO bullshit RAW format. NO holy crap numeric nor digital overdub. NO a.i. feature (artificial intelligence sucks) : ONLY pure one-shot JPEG. Parce que shooter live, c’est comme le real rock’n’roll: c’est spontané, c’est brut de décoffrage et surtout ça doit le rester…
Les infatigables Alsaciens de LAST TRAIN ont dévoilé en ce début d’année 2025 un album saisissant, mêlant colère viscérale et émotion à fleur de peau. Pourtant réputés pour leurs performances scéniques d’une puissance rare dont la dernière en date aux Eurockéennes que nous avons visionnée en boucle sur arte.tv ces dernière semaines en prévision de cette soirée à la KuFa, ils ne nous la font pas ce soir. Pas du tout, mais alors là, pas du tout.
On attendait la férocité des sons, la tension, les textures et l’émotion savamment distillée, des sonorités lourdes et incisives et une mécanique aussi tendue qu’hypnotique. Nous avons droit au contraire à un set décousu et sans rythme, une succession de moments creux et de clichés sans intérêt.
Et que dire du light-show pendant les trois premières morceaux durant lesquelles les photographes accrédités sont autorisés à shooter ?! Du véritable foutage de g…: tout en contre-jour et des stroboscopes en veux-tu en voilà à te décoller la rétine. Pourquoi accréditer des photographes si c’est pour leur offrir de telles conditions de travail ? Une soirée franchement décevante et à oublier. A mettre sur le compte du droit à l’erreur…?
Quel meilleur endroit que la Rockhal de Esch-sur-Alzette pour HELLOWEEN lancer la tournée mondiale de leur 40ème anniversaire !? 2 lead vocals, 3 lead guitars, une scénographie démoniaque et une sonorisation parfaite : what else, Georges ?
Now online et toujours dans notre GALERY de portraits Intensities in 10s Cities:From Backstage to Frontstage, All The World Is A Stage. Et, as usual, pas de chipotage ni de bidouillage avec les photos comme vous en voyez partout ailleurs. Non: ici, c’est NO f*cking Photoshop. NO damn Ligthroom. NO bullshit RAW format. NO holy crap numeric nor digital overdub. NO a.i. feature (artificial intelligence sucks) : ONLY pure one-shot JPEG. Parce que shooter live, c’est comme le real rock’n’roll: c’est spontané, c’est brut de décoffrage et surtout ça doit le rester…
Et voilà-t-y pas que la Rockhal a le privilège d’accueillir la première date de la tournée mondiale d’HELLOWEEN qui souffle les bougies de son premier gâteau de 40ème anniversaire chez le Grand-Duc. Et des gâteaux HELLOWEEN, il y en aura tout au long des mois à venir – et des citrouilles aussi – jusqu’à l’été 2026. Pour un début de tournée en fanfare, la fanfare était bel et bien au rendez-vous et près de 2h30 durant, excusez du peu. Un chaud show de classe tout simplement mondiale qui devrait inspirer bien des grands qui ne leur arrivent même pas à la cheville alors qu’ils se pensent au firmament…
Nos Teutons ont mis toute la sauce jusqu’à la dernière minute en effets pyrotechniques, explosifs, laser, confettis, lance-flamme et tutti quanti mais sans jamais tomber dans le grand-guignolesque ou le grandiloquent de mauvais goût (suivez notre regard…).
Deux lead vocals (quand pas trois) et trois lead guitars: fait-on mieux aujourd’hui en matière de tessiture ? Oui, certainement – à l’opéra sans doute. A la Rockhal, pas sûr. Avec des titres qui, pour certains, n’avaient jamais été joués sur scène et pour d’autres n’avaient plus été joués depuis des lustres, HELLOWEEN nous déroule la tapis rouge tandis qu’on boit de la petite bière.
Il y a ainsi de ces groupes qui traversent les décennies sans coup férir, ou plutôt sans faire de vague dans le maelström ambiant du mainstream bon chic bon genre, loin de ces médias de la bande FM qui pensent être la référence rock’n’rollesque des esprits bien pensants qui s’y abreuvent comme s’ils allaient à la communion. HELLOWEEN n’est pas de cette obédience et ne mange pas de ce pain rassi ni ne boit à ce calice.
Forte de la sortie du 17ème album studio, la setlist affiche 22 morceaux dont Twilight of the Gods (joué pour la première fois depuis 1987), In the Middle of a Heartbeat (première depuis 1996), Hey Lord! (première fois depuis 2004) ou encore The King for a 1000 Years (première depuis 2008). Sans parler de 4 extraits de leur dernière galette, This Is Tokyo, Into the Sun, Universe (Gravity for Hearts) et A Little Is a Little Too Much. On a presqu’envie de leur dire simplement merci les gars, merci d’être restés fidèles à vous-mêmes – total respect. Danke, Leute!
A suivre à Esch-sur-Alzette : HELLOWEEN qui fête ses 40 ans à la Rockhalce 17 octobre 2025 et LAST TRAIN de passage quatre jours plus tard par la KuFa. Quant à VOLBEAT, ce sera le 23, de nouveau à la Rockhal. Qu’on se le dise ! Et la cerise sur le gâteau ? C’est pour ce 1er novembre 2025 au Casino de Sint-Niklaas avec rien de moins que TURBONEGRO 🙂
Un ch’tit coup d’oeil dans notre rétroviseur ? C’est par ici :
Et comme toujours en français in ze texte: last & latest footages, shootings & reviews in our specific GALERY « From backstage to frontstage ». NO Photoshop. NO Ligthroom. NO RAW format. NO numeric nor digital overdub. NO artificial intelligence (ONLY human one !) and pure one-shot JPEG !
Now online et toujours dans notre GALERY de portraits Intensities in 10s Cities:From Backstage to Frontstage, All The World Is A Stage. Et, as usual, pas de chipotage ni de bidouillage avec les photos comme vous en voyez partout ailleurs. Non: ici, c’est NO f*cking Photoshop. NO damn Ligthroom. NO bullshit RAW format. NO holy crap numeric nor digital overdub. NO a.i. feature (artificial intelligence sucks) : ONLY pure one-shot JPEG. Parce que shooter live, c’est comme le real rock’n’roll: c’est spontané, c’est brut de décoffrage et surtout ça doit le rester…
Tantôt avec « s », tantôt sans « s », Charleville-Mézières ou plutôt le Cabaret Vert se labellise Ardenne(s) comme si la cité de Rimbaud ne savait de quelle extrémité de la Meuse se revendiquer: côté source française ou côté embouchure belge. Aux bars, l’Orval et la Chimay se disputent la place aux productions brassicoles françaises. Idem pour casser la croûte: avec ses exigences éco-responsables sans pareilles, le Cabaret s’approvisionne en circuit court auprès de producteurs locaux dans un rayon de quelques dizaines de kilomètres.
Le solde est à l’avenant, des sanitaires à la production électrique, du recyclage des détritus aux infrastructures. Le Cabaret Vert est un festival définitivement semblable à aucun autre, et ce n’est pas uniquement pour son éclectisme en termes d’affiche mais également en matière de diversité culturelle (festival BD, cinéma,…) et d’engagement politique (débats, think-tanks de réflexion,…).
Tenue sous un ciel radieux, l’édition 2025 du Cabaret Vert a rassemblé 101.000 festivaliers durant ces 4 jours de découvertes, de liberté et d’émotions: chaque espace a porté l’énergie collective du festival et ouvert une parenthèse hors du temps. 83 groupes, 70 auteurs de BD, 300 journalistes et photographes, 650 partenaires: marquée par ses engagements durables et par le brassage des générations, cette Blue Edition rappelle combien nous avons besoin de nous retrouver pour vibrer ensemble.
Zoom sur la journée du samedi 16 août affichant quelques perles et découvertes notables sur la scène Razorback, le vilain garnement des 4 scènes déployées de part et d’autre de la Meuse. RESOLVE tes problèmes à coup de métal ! S’appuyant sur un passage remarqué au Hellfest ainsi que sur deux années de tournées internationales, RESOLVE s’impose comme l’étoile montante du métalcore français. Pour notre part pas particulièrement amateur (ni connaisseur) du genre, force est toutefois de constater que les Français délivrent un set parfaitement audible et hautement appréciable. Se démarquant des stéréotypes en vigueur dans le style, le combo peut se prévaloir de compos qui tiennent admirablement bien la route et un jeu de scène digne d’une tête d’affiche.
Pionnier du rap français dans les années 90, MC★SOLAAR continue d’être considéré l’une des plus belles plumes de la scène francophone. Le rap, qu’il soit français ou international, n’est pas notre créneau – que du contraire. Et quand les consignes sont à ce point claires et nettes en provenance de l’artiste (« Aucun photographe autorisé dans le pit »), passez votre chemin il n’y a rien à voir et encore moins à entendre…
Avec leur punk-rock qui fait trembler les injustices, The LINDA LINDAS sont devenues virales avec leur performance de « Racist, Sexist, Boy » à la bibliothèque publique de Los Angeles. Depuis, elles crient contre l’injustice, chantent sur l’adolescence, déclament liberté et rébellion en incarnant l’altruisme punk sur un mode post-punk, garage-rock, power-pop toutefois trop propret et trop gentillet à notre oreille mais qui a tout pour porter les 4 filles (nous n’en comptions que 3…) au firmament du mainstream.
Alan WALKER nous fait fuir le festival sans même attendre le set de LEPROUS auquel nous aspirions. C’est dire. Puis à quoi bon shooter un type au visage à moitié dissimulé, seul sur une immense scène, qui chipote à des boutons pour en faire sortir des sons tout ce qu’il y a de plus synthétiques et sans âme ? Rien que ses conditions photos nous font sourire (à défaut de pleurer): les photographes doivent être intégralement habillés de noir dans le pit-photo et ne peuvent rester statiques. Pincez-nous (et pour les autres conditions hallucinantes, voir photo ci-dessus en début de post…). Heureusement, la FEDERATION FRANCAISE DE FUNCK(FFF) et QUEENS of the STONE AGE auront quant à eux amplement fait notre journée (voir aussi ici et ici) et ça, moussaillon, ça n’a pas de prix.
Tenue sous un ciel radieux 4 jours durant, l’édition 2025 du Cabaret Vert a rassemblé 101 000 festivaliers épris de découvertes, de liberté et d’émotions. Concerts, BD, cinéma, débats : chaque espace a porté l’énergie collective du festival et ouvert une parenthèse hors du temps. Marquée par ses engagements durables et par le brassage des générations, cette Blue Edition2025 rappelle combien nous avons besoin de nous retrouver pour vibrer ensemble. Et si ce n’est pas FFF qui en est la plus vibrante illustration, on veut bien manger notre objectif…
Now online et toujours dans notre GALERY de portraits Intensities in 10s Cities:From Backstage to Frontstage, All The World Is A Stage. Et, as usual, pas de chipotage ni de bidouillage avec les photos comme vous en voyez partout ailleurs. Non: ici, c’est NO f*cking Photoshop. NO damn Ligthroom. NO bullshit RAW format. NO holy crap numeric nor digital overdub. NO a.i. feature (artificial intelligence sucks) : ONLY pure one-shot JPEG. Parce que shooter live, c’est comme le real rock’n’roll: c’est spontané, c’est brut de décoffrage et surtout ça doit le rester…
La scène Razorback a pris de l’embonpoint, au point de devenir une quasi seconde mainstage. Sa programmation reste quant à elle fidèle à son ADN originelle : du brut et du brutal. FFF (alias Fédération Française de Funck) fait peut-être exception avec son funk-rock plus brut que brutal, mais l’esprit Razorback transpire de tous leurs pores.
Enfilez votre camisole de Funck : FFF, c’est une baffe de bonne humeur dans la gueule, un direct du droit d’énergie, de riffs musculeux, de funk et de fun. Fédération Française de Funck : la (notre) révélation de ce samedi de Cabaret Vert. FFF balance tout, ferraille lourd et donne la charge magistralement tabassée par une rythmique dont le tempo funk bien bourrin braconne merveilleusement. Les riffs alambiqués sont bloqués en mode rafale et le groupe joue en permanence la rupture funk-rock / rock-funk avec subtilité, quand ce n’est pas un cuivre qui vient subitement tournoyer et faire monter l’écume sur fond d’électricité sous pression.
Et avec le sourire, siouplait : les gars, hilares, prennent manifestement leur pied en communiquant leu fun(ck) à un public conquis que le leur rend intégralement dans un joyeux bordel – à tel point que les photographes doivent finalement évacuer le pit à mi-concert alors que tout le set était initialement open-bar photos.
La FFF livre ainsi un concert endiablé à l’image de leur style musical qui perdure depuis 23 ans déjà en continuant de faire jaillir les tripes : génial ovni du funk, FFF fait naître une fusion de rock et de funk parée pour faire balloter les corps dans un tourbillon charnel tout en couchant des textes qui saisissent avec subtilité l’énergie des combats pour la cause des femmes et la protection de l’environnement.
Tout en fougue, chair et sueur, le combo francilien met la foule de Razorback en fusion derrière leur apparence Martin Circus (le bassiste arborant une cagoule à l’effigie de Sulli, personnage phare de Monstre et Cie, tout en mâchouillant un mediator) et à l’air de ne pas y toucher. La Fédération Française de Funck, un band à l’énergie et à l’efficacité bigrement redoutables et aux compositions qui – dans leur version live du moins – s’avèrent tout bonnement cataclysmiques. Un cataclysme de fun, de funk, de soul et d’un rock incandescent qui lume et irradie comme une coulée continue : FFF – Fédération Française de Funck, assurément notre coup de cœur du jour.
Et quantité d’autres merveilles et découvertes au coeur de ce festival définitivement pas comme les autres et qui donne aux Ardennes françaises (pléonasme) un air de jardin des délices et d’ailleurs. De cet ailleurs que d’aucuns appellent Eden ou Olympe et que nous appellerons quant à nous tous simplement nirvana. « Bonsoir, je suis heureux d’être parmi vous ce soir… My name is Will Smith ». Sacré Josh va, toujours le mot pour rire ! Quand ce n’est pas le coup de bottine dans la g… des photographes…
Now online et toujours dans notre GALERY de portraits Intensities in 10s Cities:From Backstage to Frontstage, All The World Is A Stage. Et, as usual, pas de chipotage ni de bidouillage avec les photos comme vous en voyez partout ailleurs. Non: ici, c’est NO f*cking Photoshop. NO damn Ligthroom. NO bullshit RAW format. NO holy crap numeric nor digital overdub. NO a.i. feature (artificial intelligence sucks) : ONLY pure one-shot JPEG. Parce que shooter live, c’est comme le real rock’n’roll: c’est spontané, c’est brut de décoffrage et surtout ça doit le rester…