Challenge chaque année renouvelé, le CABARET VERT ce n’est pas seulement de la musique: c’est une expérience immersive où l’art et la nature se rencontrent (Vert, vous avez dit VERT ?!), des concerts de malade sur 5 scènes différentes, une table ronde passionnante à l’IDéal, des pépites cinématographiques à découvrir sans oublier le festival BD qui vous en met plein les mirettes. Envie de chiller ? Rendez-vous à l’Estaminet pour des animations coolissimes. Et pour les gourmets, direction les stands locaux et gourmands pour régaler vos papilles (et on ne vous parle même pas des Trappistes belges à prix d’ami). Dans une nouvelle configuration géographique pour le moins déstabilisante mais totalement réussie, le CABARET VERT a une nouvelle fois repoussé les limites de la créativité et de l’originalité pour nous offrir un cadre et un décor à couper le souffle où la nature, l’eau et la forêt reprennent tous leurs droits.
Pour ce premier soir, et en l’absence regrettée de Queen Of The Stone Age retenus aux States pour raisons médicales, PJ HARVEY a charmé la plaine, DESTROY BOYS a surpris le bon peuple, FLOOGING MOLLY a payé sa tournée générale de Guinness et FONTAINES DC (en remplacement de Queen Of The Stone Age) ne nous a pas séduit…
Now online et déjà dans notre GALERY Intensities in 10s Cities : From Backstage to Frontstage, All The World Is A Stage. Et, as usual, pas de chipotage ni de bidouillage avec les photos comme vous en voyez partout ailleurs. Non: ici, c’est NO f*cking Photoshop. NO damn Ligthroom. NO bullshit RAW format. NO holy crap numeric nor digital overdub. NO a.i. feature (artificial intelligence sucks) : ONLY pure one-shot JPEG. Parce que shooter live, c’est comme le real rock’n’roll: c’est spontané, c’est brut de décoffrage et surtout ça doit le rester…