William en solo, seul avec son piano au Beaux-Arts. Seul face au public. Moments d’extrême émotion, de sensibilité, d’intimité presque. Tout de blanc vêtu, il raconte comme il chante, il chante comme il raconte : chaque pièce musicale est une scénette en elle-même, une tranche de vie. William tout en douceur, William tout en profondeur. Bref : William, quoi… Je l’avais déjà vu avec un extrême plaisir il y a quelques années à Bruxelles, au Cirque Royal je pense – même qu’on s’était retrouvés peu après à l’entrée d’une boîte gay de la capitale…