RUSH : 5 de 7. Que dire de plus qui n’a pas encore été dit ou écrit ? Si ce n’est que la salle n’a ni charme ni particularité relevante – c’est un vélodrome – et que nous ne sommes pas particulièrement bien placés non plus. Le concert est d’un standard de qualité qui ne lasse de surprendre. Je comprends mieux Neil expliquant combien il est ardu pour le groupe de s’accorder sur une set list suffisamment complexe que pour faire de chaque soir un défi permanent à relever en terme de performance live, sans pour autant sombrer dans le supplice technico-technique exigeant de leur part une concentration trop extrême leur ôtant par là-même le plaisir de jouer. Celui qui a vu Rush sur scène comprendra – ou plutôt ne comprendra pas – comment un trio peut, à lui seul, faire tout ça ! Le solo de Neil est un poème à lui tout seul, une performance quotidienne étalonnant la référence absolue en matière de percussions…