A la suite de l’interview de cet après-midi, je me vois gratifié d’un pass photo pour le concert du soir : cool, tout ça. A l’inverse d’autres concerts, plusieurs morceaux sont accordés aux photographes pour tirer les clichés et pas uniquement les traditionnels trois premiers… avec l’avantage de pouvoir ensuite rester avec mon boitier numérique en bandoulières jusqu’à la fin du concert, mais dans la salle cette fois.
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Etrangement, je tire mes meilleurs clichés depuis la salle et non pas depuis le front stage ! Superbe concert, bien évidemment – et en toute subjectivité. Une bonne partie de FOABP y passe, mais pas intégralement je pense ni dans l’ordre attendu. Le son est très fort mais pur, le son est très pur mais fort : oufti, quel bonheur !
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Pas d’autres mots pour qualifier le moment autrement que parfait – malgré un problème technique à l’ampli de Steven qui nous a amputés d’une partie du rappel. Pieds nus, il lui en faut plus pour être déstabilisé. A force de nous éterniser au bar de l’AB où nous réinventons le monde en guise d’after, nous avons la chance de croiser Colin Edwin – le bassiste – au sortir de la salle et de tailler une courte bavette avec lui, ainsi que de tirer quelques clichés avant qu’il ne remonte dans son autocar stationné à rue. Porcupine est venu, Porcupine a vu et Porcupine a vaincu. Long live Porcupine…
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