Troisième concert ce mois-ci. Cette fois dans un hall à bestiaux pour un show à l’image de ruminants ! Décidément, Aerosmith est bien triste et tristounet, décevant même. La soupe commerciale qu’ils nous assènent comme des automates, sans cœur ni passion, en viendrait-elle à déteindre sur leur jeu de scène qui en deviendrait presque soporifique et d’une prévision tristement téléphonée ? Dommage, dommage, tant de clichés ressassés. Ressaisissez-vous les gars, ou alors recyclez-vous dans la mélasse… Déjà que la salle n’est pas en soi des plus terribles, s’il faut en outre que la musique ne décolle pas, wallons-nous ?